Une marée humaine s’est ruée vers les gares routières pour rentrer en province. Les mesures de confinement n’ont pas été respectées. La gabegie règne en maître dans les gares routières. Andohatapenaka et Fasan’ny Karàna ont été assaillis par des voyageurs, voulant rentrer chez eux après l’autorisation présidentielle. La distance d’un mètre pour éviter la propagation du coronavirus n’était plus respectée. La foule s’entremêlait. Les gens se bousculaient à l’entrée pour recevoir l’autorisation de sortie de la capitale à Andohatapenaka. Un embouteillage monstre s’est dressé en quelques temps sur les axes allant vers ces gares routières. Du côté de Fasan’ny Karàna, les charretiers ont reçu leur gagne-pain comme au quotidien. À part les marchandises et les bagages, les charrettes et les pousse-pousse transportaient également les voyageurs rejoignant la gare routière. La rue était complètement bouchée depuis Soanierana jusqu’à Fasan’ny Karàna comme en temps normal. « C’est le bordel ici. Je crois que même en portant un cache bouche, il est impossible que je ne sois pas contaminée. Les gens sont collés les uns contre les autres. Aucun respect de la distance d’un mètre. Les dockers, les charretiers, les rabatteurs et les marchands ambulants circulent un peu partout. Les transporteurs n’en font qu’à leur tête», souligne Anita accompagnant un membre de sa famille. À Andohatapenaka, la situation n’a pas été maîtrisée selon un voyageur. Il y avait trop de personnes que d’habitude. Le ministère des Transports, du tourisme et de la météorologie a décidé d’annuler l’octroi de l’autorisation de sortie. Les demandes dépassaient les deux mille.
Une marée humaine s’est ruée vers les gares routières pour rentrer en province. Les mesures de confinement n’ont pas été respectées. La gabegie règne en maître dans les gares routières. Andohatapenaka et Fasan’ny Karàna ont été assaillis par des voyageurs, voulant rentrer chez eux après l’autorisation présidentielle. La distance d’un mètre pour éviter la propagation du coronavirus n’était plus respectée. La foule s’entremêlait. Les gens se bousculaient à l’entrée pour recevoir l’autorisation de sortie de la capitale à Andohatapenaka. Un embouteillage monstre s’est dressé en quelques temps sur les axes allant vers ces gares routières. Du côté de Fasan’ny Karàna, les charretiers ont reçu leur gagne-pain comme au quotidien. À part les marchandises et les bagages, les charrettes et les pousse-pousse transportaient également les voyageurs rejoignant la gare routière. La rue était complètement bouchée depuis Soanierana jusqu’à Fasan’ny Karàna comme en temps normal. « C’est le bordel ici. Je crois que même en portant un cache bouche, il est impossible que je ne sois pas contaminée. Les gens sont collés les uns contre les autres. Aucun respect de la distance d’un mètre. Les dockers, les charretiers, les rabatteurs et les marchands ambulants circulent un peu partout. Les transporteurs n’en font qu’à leur tête», souligne Anita accompagnant un membre de sa famille. À Andohatapenaka, la situation n’a pas été maîtrisée selon un voyageur. Il y avait trop de personnes que d’habitude. Le ministère des Transports, du tourisme et de la météorologie a décidé d’annuler l’octroi de l’autorisation de sortie. Les demandes dépassaient les deux mille.