Le nombre de cas contacts croît de jour en jour, au fur et à mesure que les dépistages sont étendus à d’autres individus. Ainsi, on en dénombre trente-quatre, depuis hier. Trente-quatre cas locaux non importés. C’est le nombre mis à jour hier depuis l’annonce des trois premiers cas de coronavirus dont les porteurs étaient alors des individus en provenance de l’étranger. Dix-huit jours après la révélation des premiers contaminés de la pandémie, le nombre de cas contacts à Madagascar dépasse largement la moitié du nombre de cas confirmés. Le coronavirus se répand dans la Grande île en catimini sans que le confinement général ne soit pas encore appliqué. Trois quartiers de la capitale où est suspectée l’expansion du covid-19 par contact, restent calmes et la vie de tous les jours s’y poursuit, d’après ce qui a été constaté hier respectivement à Ankadifotsy, Ampitatafika et Ambodin’Isotry. Selon un médecin exerçant en cabinet médical, « Les gens croient qu’avec l’apparition des cas de guérison, le danger a disparu. Or, le risque de contamination plane tel une épée de Damoclès ».
Le nombre de cas contacts croît de jour en jour, au fur et à mesure que les dépistages sont étendus à d’autres individus. Ainsi, on en dénombre trente-quatre, depuis hier. Trente-quatre cas locaux non importés. C’est le nombre mis à jour hier depuis l’annonce des trois premiers cas de coronavirus dont les porteurs étaient alors des individus en provenance de l’étranger. Dix-huit jours après la révélation des premiers contaminés de la pandémie, le nombre de cas contacts à Madagascar dépasse largement la moitié du nombre de cas confirmés. Le coronavirus se répand dans la Grande île en catimini sans que le confinement général ne soit pas encore appliqué. Trois quartiers de la capitale où est suspectée l’expansion du covid-19 par contact, restent calmes et la vie de tous les jours s’y poursuit, d’après ce qui a été constaté hier respectivement à Ankadifotsy, Ampitatafika et Ambodin’Isotry. Selon un médecin exerçant en cabinet médical, « Les gens croient qu’avec l’apparition des cas de guérison, le danger a disparu. Or, le risque de contamination plane tel une épée de Damoclès ».