Officiellement lancé en marge de la clôture du premier Pavillon Madagascar à la Biennale de Venise, le Fonds de dotation HY s’inscrit dans la durée. Il crée la plateforme artistique HY. « Ici, nous portons tous les rêves du monde ». « Ici », c’est la plateforme artistique HY actuellement en cours de création. « Nous », ce sont Joël Andrianomearisoa et une dizaine d’autres artistes, danseurs, musiciens et poètes. « Porter », c’est soulever, emmener, amener, diriger, déterminer, supporter le poids, conduire, ressentir, et tout autre verbe qui signifie avoir sur soi, ou avoir avec soi, ou avoir en soi, ou avoir pour soi. « Les rêves du monde », c’est la réflexion que l’on se fait de la société. C’est la perception que l’on a de chaque communauté. C’est aussi la vision qu’on a de l’avenir, et la représentation qu’on se fait de l’homme et de l’humanité. Pour faire simple, « Ici, nous portons tous les rêves du monde » est une exposition où une dizaine d’artistes sous l’égide de Joël Andrianomearisoa matérialiseront la façon dont le monde est pensé, ou perçu, ou imaginé, ou... L’événement débutera le 8 février 2020 et inaugurera la galerie de la plateforme artistique HY, des initiales de Hasnaine Yavarhoussen, directeur général du Groupe Filatex et président du Fonds de dotation HY. En plus de montrer des talents, de promouvoir des créativités et de soutenir des artistes, l’idée est aussi de mettre en avant le rôle que peuvent jouer l’art et la culture dans le développement du pays. Car des rêves portés par ces artistes sont appelés à germer le monde de demain. Ne dit-on pas que « tout commence pas un rêve » ? Et qui, mieux que les artistes, peuvent dessiner, crier, chanter, peindre, danser les rêves d’un monde, d’une société, d’une communauté, et surtout de l’Homme ? Accompagner le développement « Nous sommes convaincus que l’art et la culture sont les piliers indispensables au développement », ne cesse d’ailleurs de répéter Romy Voos Andrianarisoa, directrice du mécénat et des relations publique du Groupe Filatex. Après avoir été le mécène principal du premier Pavillon Madagascar à l’exposition internationale de la Biennale de Venise, et après avoir soutenu un certain nombre d’artistes et de manifestations artistiques, le Groupe Filatex inscrit ses actions sur la durée et dans le temps. Avec le Fonds de dotation HY, il « se donne pour mission d’accompagner la création et de soutenir l’accessibilité et la visibilité à la culture et à l’art », ainsi que le précise Hasnaine Yavarhoussen son président. A travers les activités qu’il prévoit à travers le monde en 2020, d’Antananarivo à Washington, en passant par le Loir-et-Cher et le Gard en France, le Fonds entend aussi « valoriser la créativité et l’innovation singulières malgaches tout en contribuant au rayonnement d’un continent en pleine transformation ». Et en créant la plateforme artistique HY, un nouveau lieu culturel pluridisciplinaire à Antananarivo, son objectif est de « fédérer et accélérer les échanges co-créatifs entre artistes malgaches et internationaux ».
Officiellement lancé en marge de la clôture du premier Pavillon Madagascar à la Biennale de Venise, le Fonds de dotation HY s’inscrit dans la durée. Il crée la plateforme artistique HY. « Ici, nous portons tous les rêves du monde ». « Ici », c’est la plateforme artistique HY actuellement en cours de création. « Nous », ce sont Joël Andrianomearisoa et une dizaine d’autres artistes, danseurs, musiciens et poètes. « Porter », c’est soulever, emmener, amener, diriger, déterminer, supporter le poids, conduire, ressentir, et tout autre verbe qui signifie avoir sur soi, ou avoir avec soi, ou avoir en soi, ou avoir pour soi. « Les rêves du monde », c’est la réflexion que l’on se fait de la société. C’est la perception que l’on a de chaque communauté. C’est aussi la vision qu’on a de l’avenir, et la représentation qu’on se fait de l’homme et de l’humanité. Pour faire simple, « Ici, nous portons tous les rêves du monde » est une exposition où une dizaine d’artistes sous l’égide de Joël Andrianomearisoa matérialiseront la façon dont le monde est pensé, ou perçu, ou imaginé, ou... L’événement débutera le 8 février 2020 et inaugurera la galerie de la plateforme artistique HY, des initiales de Hasnaine Yavarhoussen, directeur général du Groupe Filatex et président du Fonds de dotation HY. En plus de montrer des talents, de promouvoir des créativités et de soutenir des artistes, l’idée est aussi de mettre en avant le rôle que peuvent jouer l’art et la culture dans le développement du pays. Car des rêves portés par ces artistes sont appelés à germer le monde de demain. Ne dit-on pas que « tout commence pas un rêve » ? Et qui, mieux que les artistes, peuvent dessiner, crier, chanter, peindre, danser les rêves d’un monde, d’une société, d’une communauté, et surtout de l’Homme ? Accompagner le développement « Nous sommes convaincus que l’art et la culture sont les piliers indispensables au développement », ne cesse d’ailleurs de répéter Romy Voos Andrianarisoa, directrice du mécénat et des relations publique du Groupe Filatex. Après avoir été le mécène principal du premier Pavillon Madagascar à l’exposition internationale de la Biennale de Venise, et après avoir soutenu un certain nombre d’artistes et de manifestations artistiques, le Groupe Filatex inscrit ses actions sur la durée et dans le temps. Avec le Fonds de dotation HY, il « se donne pour mission d’accompagner la création et de soutenir l’accessibilité et la visibilité à la culture et à l’art », ainsi que le précise Hasnaine Yavarhoussen son président. A travers les activités qu’il prévoit à travers le monde en 2020, d’Antananarivo à Washington, en passant par le Loir-et-Cher et le Gard en France, le Fonds entend aussi « valoriser la créativité et l’innovation singulières malgaches tout en contribuant au rayonnement d’un continent en pleine transformation ». Et en créant la plateforme artistique HY, un nouveau lieu culturel pluridisciplinaire à Antananarivo, son objectif est de « fédérer et accélérer les échanges co-créatifs entre artistes malgaches et internationaux ».