Après une vive réprimande présidentielle, vendredi, la société Sinohydro a repris son souffle, hier. Les échantillonnages faits sur la route Fascène - Madiro ont été concluants. Un ouf de soulagement. Les responsables de l’entreprise Sinohydro en ont littéralement poussé hier. Les échantillonnages faits sur la route de 24 kilomètres entre Madiro et l’aéroport de Fascène, à Nosy Be, ont été concluants. “Vous pouvez sourire maintenant”, déclare Andry Rajoelina, président de la République, s’adressant au dépositaire local de cette société. Les carottages pour prélever des échantillons de la chaussée nouvellement réhabilitée ont été supervisés par le chef de l’État, en personne. C’est également lui, qui a choisi les lieux pour faire les échantillonnages. Selon ses dires, il a été convenu avec l’entreprise Sinohydro de faire des routes en enrobé dont la norme est une composition bitumineuse de 5 centimètres au moins. L’épaisseur et la densité d’une chaussée en enrobé ferait qu’elle puisse durer jusqu’à vingt-cinq ans. La décision de procéder à ces carottages de la route entre Fascène et Madiro a été décidée de façon impromptue par le Président Rajoelina, vendredi. Les carottages auraient dû être faits samedi matin. Seulement, le planning serré ne l’a pas permis. Le locataire d’Iavoloha a ainsi décidé de prolonger d’une matinée son séjour à Nosy Be, juste pour faire ces échantillonnages. Il a ainsi marqué trois arrêts sur son chemin vers l’aéroport de Fascène afin d’embarquer sur un vol vers Antananarivo et ensuite s’envoler pour l’Égypte afin de prendre part à la COP 27 ou la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques. Les trois échantillons prélevés sur la route entre Madiro et Fascène ont eu 6 cm jusqu’à 6,5 cm d’épaisseur. “C’est ainsi que nous devons travailler. Nous devons respecter les normes internationales puisque nous voulons laisser quelque chose de durable dont pourront jouir les générations futures”, se félicite le locataire d’Iavoloha. A l’entendre, toutefois, l’Etat ne compte pas s’en tenir aux carottages. Selon ses dires, des techniciens débarqueront à Nosy Be, aujourd’ hui, pour vérifier si la composition du bitume sur la chaussée suit les normes, également. L’issue des carottages faits hier semble, cependant, avoir remis en selle Sinohydro pour le chantier de réhabilitation de la route partant de Hell-ville jusqu’à Andilana.
Après une vive réprimande présidentielle, vendredi, la société Sinohydro a repris son souffle, hier. Les échantillonnages faits sur la route Fascène - Madiro ont été concluants. Un ouf de soulagement. Les responsables de l’entreprise Sinohydro en ont littéralement poussé hier. Les échantillonnages faits sur la route de 24 kilomètres entre Madiro et l’aéroport de Fascène, à Nosy Be, ont été concluants. “Vous pouvez sourire maintenant”, déclare Andry Rajoelina, président de la République, s’adressant au dépositaire local de cette société. Les carottages pour prélever des échantillons de la chaussée nouvellement réhabilitée ont été supervisés par le chef de l’État, en personne. C’est également lui, qui a choisi les lieux pour faire les échantillonnages. Selon ses dires, il a été convenu avec l’entreprise Sinohydro de faire des routes en enrobé dont la norme est une composition bitumineuse de 5 centimètres au moins. L’épaisseur et la densité d’une chaussée en enrobé ferait qu’elle puisse durer jusqu’à vingt-cinq ans. La décision de procéder à ces carottages de la route entre Fascène et Madiro a été décidée de façon impromptue par le Président Rajoelina, vendredi. Les carottages auraient dû être faits samedi matin. Seulement, le planning serré ne l’a pas permis. Le locataire d’Iavoloha a ainsi décidé de prolonger d’une matinée son séjour à Nosy Be, juste pour faire ces échantillonnages. Il a ainsi marqué trois arrêts sur son chemin vers l’aéroport de Fascène afin d’embarquer sur un vol vers Antananarivo et ensuite s’envoler pour l’Égypte afin de prendre part à la COP 27 ou la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques. Les trois échantillons prélevés sur la route entre Madiro et Fascène ont eu 6 cm jusqu’à 6,5 cm d’épaisseur. “C’est ainsi que nous devons travailler. Nous devons respecter les normes internationales puisque nous voulons laisser quelque chose de durable dont pourront jouir les générations futures”, se félicite le locataire d’Iavoloha. A l’entendre, toutefois, l’Etat ne compte pas s’en tenir aux carottages. Selon ses dires, des techniciens débarqueront à Nosy Be, aujourd’ hui, pour vérifier si la composition du bitume sur la chaussée suit les normes, également. L’issue des carottages faits hier semble, cependant, avoir remis en selle Sinohydro pour le chantier de réhabilitation de la route partant de Hell-ville jusqu’à Andilana.