Réponse au vent de panique qui a soufflé ces derniers jours. « Les Twin Otter ne sont pas en vente actuellement et aucune procédure n'a été lancée à cet effet » précise Air Madagascar dans un communiqué. Elle dément ainsi des informations faisant état d'un projet de vente de ses trois appareils Twin Otter de sa flotte. Quand bien même cette option aurait été envisagée. Selon Air Madagascar, « les ventes d'actifs de la compagnie ne se décident pas sans suivre les procédures. Celles-ci doivent notamment impliquer aussi bien le Conseil d'administration que les deux ministères de tutelle technique et financière ». Elle se reconnaît dans « un état critique » mais des rencontres se poursuivent pour trouver des solutions durables. Faut-il rappeler qu’Air Madagascar a été dans le premier lot de la liste des 45 sociétés d’État à privatiser, publiée à Fianarantsoa le 30 avril 1997, par le vice Premier-ministre chargé des Finances et de l’économie de l’époque, Tantely Andrianarivo. Par la forte réticence des syndicalistes, cette orientation a été abandonnée. Au profit d’un contrat de gestion passé avec Lufthansa consulting sous Marc Ravalomanana. Et du contrat de partenariat stratégique avec Air Austral scellé par des barons du HVM. Aussi, la cession d’actifs n’a jamais été acceptée par le personnel. Quelle qu’en soit sa forme.
Réponse au vent de panique qui a soufflé ces derniers jours. « Les Twin Otter ne sont pas en vente actuellement et aucune procédure n'a été lancée à cet effet » précise Air Madagascar dans un communiqué. Elle dément ainsi des informations faisant état d'un projet de vente de ses trois appareils Twin Otter de sa flotte. Quand bien même cette option aurait été envisagée. Selon Air Madagascar, « les ventes d'actifs de la compagnie ne se décident pas sans suivre les procédures. Celles-ci doivent notamment impliquer aussi bien le Conseil d'administration que les deux ministères de tutelle technique et financière ». Elle se reconnaît dans « un état critique » mais des rencontres se poursuivent pour trouver des solutions durables. Faut-il rappeler qu’Air Madagascar a été dans le premier lot de la liste des 45 sociétés d’État à privatiser, publiée à Fianarantsoa le 30 avril 1997, par le vice Premier-ministre chargé des Finances et de l’économie de l’époque, Tantely Andrianarivo. Par la forte réticence des syndicalistes, cette orientation a été abandonnée. Au profit d’un contrat de gestion passé avec Lufthansa consulting sous Marc Ravalomanana. Et du contrat de partenariat stratégique avec Air Austral scellé par des barons du HVM. Aussi, la cession d’actifs n’a jamais été acceptée par le personnel. Quelle qu’en soit sa forme.