Ambatomaro, Andraisoro et d’autres parties de la capitale souffrent d’approvisionnement en eau depuis bien des années. Les responsables locaux tirent la sonnette d’alarme. Nous sommes confrontés à des problèmes approvisionnement en eau depuis des années. La coupure est tellement fréquente et elle ne se rétablit que vers 2 heures du matin. Elle ne fonctionne que près de deux heures par jour. Cela ne suffit pas à approvisionner tous les ménages du fokontany d’Ambatomaro. Pour ma part, je ne peux remplir que cinq à dix bidons par jour avant que la coupure ne survienne », se plaint Edmond Robisoa, président du fokontany d'Ambatomaro. La situation qui a empiré durant la saison sèche. Quelques quartiers sont actuellement confrontés à des problèmes d’approvisionnement en eau potable, dont le fokontany Ambohimahitsy, Ambohidrapeto, Itaosy. Dans ces quartiers, la coupure d’eau est fréquente dans la journée que durant la nuit. Les quartiers qui se situent au niveau des zones périphériques ou géographiques éloignés sont les plus confrontés aux problèmes d’eau dans la capitale. L’assèchement des sources alternatives comme les puits en période sèche entraîne l’augmentation des besoins en eau pour chaque ménage. Des projets en cours Les citernes implantées au niveau des fokontany continuent d’assurer de manière provisoire les fokontany concernés par le problème d’eau. « La production en eau actuelle n’atteint pas les 100 000 m3 par jour. Ce qui ne suffit pas à approvisionner tous les quartiers de la capitale. L’installation des citernes d’eau avec approvisionnement quotidien fait partie des solutions avancées. Il s’agit de quatre-vingt-seize citernes implantées sur plusieurs endroits de la capitale. Cette solution a été avancée à titre provisoire en attente de la solution à long terme », indique Solofo Rakotonandraina, Directeur Techique Eau Antananarivo. La capacité de ces citernes n'est pas non plus suffisante au niveau des fokontany. « Une citerne peut contenir près de 10 m3 d’eau équivalents à deux cent cinquante bidons. Dans le fokontany Andraisoro, les citernes d’eau ne sont pas suffisamment remplies », évoque Rolland Rasolofomanana, président du fokontany Andraisoro. Des solu tions à long terme sont déjà en cours de mise en œuvre. « A long terme, il s’agit par exemple de la station de Mandroseza qui sera renforcée. La mise en place de la station de Mandroseza 2 bis continue sur cette lancée avec au total une production de 60 000 m3. Des unités de production d’eau seront également mises en place au niveau des périphéries. Comme c’est le cas de la station d’Amoron’Ankona qui sera rétablie d’ici peu », indique le Directeur Technique Eau de la capitale.
Ambatomaro, Andraisoro et d’autres parties de la capitale souffrent d’approvisionnement en eau depuis bien des années. Les responsables locaux tirent la sonnette d’alarme. Nous sommes confrontés à des problèmes approvisionnement en eau depuis des années. La coupure est tellement fréquente et elle ne se rétablit que vers 2 heures du matin. Elle ne fonctionne que près de deux heures par jour. Cela ne suffit pas à approvisionner tous les ménages du fokontany d’Ambatomaro. Pour ma part, je ne peux remplir que cinq à dix bidons par jour avant que la coupure ne survienne », se plaint Edmond Robisoa, président du fokontany d'Ambatomaro. La situation qui a empiré durant la saison sèche. Quelques quartiers sont actuellement confrontés à des problèmes d’approvisionnement en eau potable, dont le fokontany Ambohimahitsy, Ambohidrapeto, Itaosy. Dans ces quartiers, la coupure d’eau est fréquente dans la journée que durant la nuit. Les quartiers qui se situent au niveau des zones périphériques ou géographiques éloignés sont les plus confrontés aux problèmes d’eau dans la capitale. L’assèchement des sources alternatives comme les puits en période sèche entraîne l’augmentation des besoins en eau pour chaque ménage. Des projets en cours Les citernes implantées au niveau des fokontany continuent d’assurer de manière provisoire les fokontany concernés par le problème d’eau. « La production en eau actuelle n’atteint pas les 100 000 m3 par jour. Ce qui ne suffit pas à approvisionner tous les quartiers de la capitale. L’installation des citernes d’eau avec approvisionnement quotidien fait partie des solutions avancées. Il s’agit de quatre-vingt-seize citernes implantées sur plusieurs endroits de la capitale. Cette solution a été avancée à titre provisoire en attente de la solution à long terme », indique Solofo Rakotonandraina, Directeur Techique Eau Antananarivo. La capacité de ces citernes n'est pas non plus suffisante au niveau des fokontany. « Une citerne peut contenir près de 10 m3 d’eau équivalents à deux cent cinquante bidons. Dans le fokontany Andraisoro, les citernes d’eau ne sont pas suffisamment remplies », évoque Rolland Rasolofomanana, président du fokontany Andraisoro. Des solu tions à long terme sont déjà en cours de mise en œuvre. « A long terme, il s’agit par exemple de la station de Mandroseza qui sera renforcée. La mise en place de la station de Mandroseza 2 bis continue sur cette lancée avec au total une production de 60 000 m3. Des unités de production d’eau seront également mises en place au niveau des périphéries. Comme c’est le cas de la station d’Amoron’Ankona qui sera rétablie d’ici peu », indique le Directeur Technique Eau de la capitale.