Les Caissiers doivent se déplacer en Afrique du Sud, en fin de semaine prochaine. Ils y affronteront le TS Galaxy, en deuxième tour aller de la Coupe de la CAF, le dimanche 15 septembre. Pour l’heure, la Confédération Africaine de Football n’a pas encore statué par rapport aux violences xénophobes, qui minent la nation Arc-en-ciel depuis plusieurs jours, et par rapport aux risques que cela engendre sur les rencontres sportives. La situation va de mal en pis sur place, où une dizaine de morts a été recensé jusqu’à hier. Logiquement, les Caissiers s’en inquiètent. « Les joueurs ne seront pas en meilleures conditions si l’insécurité persiste, vu qu’ils redouteront d’éventuels débordements. Ils ne seront pas tranquilles dans leurs têtes. Et donc, cela aura un impact négatif sur leurs performances sur le terrain », déclare le coach de la CNaPS Sport, Patrick Randriambololona, dit Tipeh. Les dirigeants du club prennent ces risques très aux sérieux. Hier, ils ont interpelé la Fédération Malgache de Football pour qu’elle se penche sur le cas. « Jeudi, on a tous que l’équipe nationale a été rappelée à la dernière minute. Ce matin (ndlr : vendredi), nous avons fait part de nos inquiétudes auprès de la FMF. On attend une réponse de la part de la Fédération », explique-t-on auprès de la direction du club. Une situation pratiquement similaire était survenue en octobre 2015, durant les éliminatoires de la Coupe du Monde Russie 2018. La ville de Bangui était en proie à de vives tensions, à ce moment-là. La CAF avait alors décidé que les matches aller et retour entre Madagascar et la République Centrafricaine devait se jouer à Antananarivo. Barea et Fauves s’étaient ainsi affrontés à deux reprises en l’espace de quatre jours, au stade de Mahamasina, avec une victoire malgache à la clef.
Les Caissiers doivent se déplacer en Afrique du Sud, en fin de semaine prochaine. Ils y affronteront le TS Galaxy, en deuxième tour aller de la Coupe de la CAF, le dimanche 15 septembre. Pour l’heure, la Confédération Africaine de Football n’a pas encore statué par rapport aux violences xénophobes, qui minent la nation Arc-en-ciel depuis plusieurs jours, et par rapport aux risques que cela engendre sur les rencontres sportives. La situation va de mal en pis sur place, où une dizaine de morts a été recensé jusqu’à hier. Logiquement, les Caissiers s’en inquiètent. « Les joueurs ne seront pas en meilleures conditions si l’insécurité persiste, vu qu’ils redouteront d’éventuels débordements. Ils ne seront pas tranquilles dans leurs têtes. Et donc, cela aura un impact négatif sur leurs performances sur le terrain », déclare le coach de la CNaPS Sport, Patrick Randriambololona, dit Tipeh. Les dirigeants du club prennent ces risques très aux sérieux. Hier, ils ont interpelé la Fédération Malgache de Football pour qu’elle se penche sur le cas. « Jeudi, on a tous que l’équipe nationale a été rappelée à la dernière minute. Ce matin (ndlr : vendredi), nous avons fait part de nos inquiétudes auprès de la FMF. On attend une réponse de la part de la Fédération », explique-t-on auprès de la direction du club. Une situation pratiquement similaire était survenue en octobre 2015, durant les éliminatoires de la Coupe du Monde Russie 2018. La ville de Bangui était en proie à de vives tensions, à ce moment-là. La CAF avait alors décidé que les matches aller et retour entre Madagascar et la République Centrafricaine devait se jouer à Antananarivo. Barea et Fauves s’étaient ainsi affrontés à deux reprises en l’espace de quatre jours, au stade de Mahamasina, avec une victoire malgache à la clef.