Plus de peur que de mal, mais surtout beaucoup beaucoup d’émotions. Le 21 août dernier, deux plongeurs à la dérive ont été sauvé in extremis grâce à une formidable solidarité qui s’est construite autour de leur sauvage. Nelly, qui a vécu le drame sur la terre ferme a tenu à partager cette aventure riche en émotions. « Cela s’est passé à dix sept kilomètres au large des côtes de Nosy be », raconte Nelly. « J'ai vécu les pires 32 heures de ma vie! Je n'ai jamais autant ressenti de peur, de frayeur et d'angoisse! Et à la nuit tombée, le désespoir prends place de ne pas les avoir retrouvés dans la journée. » Selon elle, il y a eu une incompréhension. Son mari, Français, et son ami Suisse, ont plongé avec des scooters sous marin et le marin a pu suivre des bulles seulement pendant dix minutes en sachant que la mer était agitée. « Il y a eu une mésentente avec le marin, car les plongeurs avaient précisé qu'ils longeaient le Tombant de Maromena vers le Nord alors que le marin a vu les bulles direction Sud! Pour le marin, ils avaient peut être changé d'avis et surtout n'étaient jamais sortis de l'eau! » Laissés à eux même, les plongeurs ont tenté de gagner la terre ferme par leur propre moyen, c'est-à-dire en palmant. Mais pour cela, ils ont du batailler avec le courant de onze heures du matin jusqu’à vingt et une heure du soir sans cesser de voir la plage d’Andilana. Las, ils ont fini par se laisser dériver jusqu’à atteindre le large des îles Mitsio. Durant toute la nuit,une baleine a tenu compagnie à nos deux plongeurs. C’est un catamaran, qui a fait un détour pour observer une baleine qui les ont secouru. « C’est sans doute elle que le catamaran venait voir », pense Nelly. De cette aventure, Nelly qui habite depuis deux ans à Nosy be avec son mari, elle ne retient qu’une chose : « sachez que nous adorons, aimons Madagascar. Nous sommes à Mada par envie, plaisir et amour de ce pays. Et pour avoir traversé cette terrible épreuve, Mada a montré une solidaité exceptionnelle! »
Plus de peur que de mal, mais surtout beaucoup beaucoup d’émotions. Le 21 août dernier, deux plongeurs à la dérive ont été sauvé in extremis grâce à une formidable solidarité qui s’est construite autour de leur sauvage. Nelly, qui a vécu le drame sur la terre ferme a tenu à partager cette aventure riche en émotions. « Cela s’est passé à dix sept kilomètres au large des côtes de Nosy be », raconte Nelly. « J'ai vécu les pires 32 heures de ma vie! Je n'ai jamais autant ressenti de peur, de frayeur et d'angoisse! Et à la nuit tombée, le désespoir prends place de ne pas les avoir retrouvés dans la journée. » Selon elle, il y a eu une incompréhension. Son mari, Français, et son ami Suisse, ont plongé avec des scooters sous marin et le marin a pu suivre des bulles seulement pendant dix minutes en sachant que la mer était agitée. « Il y a eu une mésentente avec le marin, car les plongeurs avaient précisé qu'ils longeaient le Tombant de Maromena vers le Nord alors que le marin a vu les bulles direction Sud! Pour le marin, ils avaient peut être changé d'avis et surtout n'étaient jamais sortis de l'eau! » Laissés à eux même, les plongeurs ont tenté de gagner la terre ferme par leur propre moyen, c'est-à-dire en palmant. Mais pour cela, ils ont du batailler avec le courant de onze heures du matin jusqu’à vingt et une heure du soir sans cesser de voir la plage d’Andilana. Las, ils ont fini par se laisser dériver jusqu’à atteindre le large des îles Mitsio. Durant toute la nuit,une baleine a tenu compagnie à nos deux plongeurs. C’est un catamaran, qui a fait un détour pour observer une baleine qui les ont secouru. « C’est sans doute elle que le catamaran venait voir », pense Nelly. De cette aventure, Nelly qui habite depuis deux ans à Nosy be avec son mari, elle ne retient qu’une chose : « sachez que nous adorons, aimons Madagascar. Nous sommes à Mada par envie, plaisir et amour de ce pays. Et pour avoir traversé cette terrible épreuve, Mada a montré une solidaité exceptionnelle! »