Deux ans après l’adoption de la loi sur la monnaie électronique, le cash est encore massivement utilisé à Madagascar. Voilà le constat de Nirianja Ralison, le gérant de Premium Publicix qui organise la deuxième édition du salon des services financiers Expofinance les 26, 27 et 28 septembre prochains. Comme pour la première édition, l’évènement entend contribuer à la promotion de l’inclusion financière dans le pays. « Le taux de bancarisation dans le pays est encore faible », souligne Nirianja Ralison qui précise, d’un autre côté, un taux de pénétration du mobile important. « Le salon tourne autour de la numérisation. Nous voulons montrer le lien entre les NTIC et le secteur bancaire à travers le salon », ajoute-t-il. D’après lui, l’écosystème du paiement électronique n’est pas encore en place. Pour le cas du mobile, il a indiqué que s’il était très utilisé dans le transfert d’argent, ce n’est pas encore le cas pour le paiement. « L’utilisation du cash n’a pas faibli au cours de ces deux ans. Il n’y a pas encore de vraie démocratisation du mobile money».
Deux ans après l’adoption de la loi sur la monnaie électronique, le cash est encore massivement utilisé à Madagascar. Voilà le constat de Nirianja Ralison, le gérant de Premium Publicix qui organise la deuxième édition du salon des services financiers Expofinance les 26, 27 et 28 septembre prochains. Comme pour la première édition, l’évènement entend contribuer à la promotion de l’inclusion financière dans le pays. « Le taux de bancarisation dans le pays est encore faible », souligne Nirianja Ralison qui précise, d’un autre côté, un taux de pénétration du mobile important. « Le salon tourne autour de la numérisation. Nous voulons montrer le lien entre les NTIC et le secteur bancaire à travers le salon », ajoute-t-il. D’après lui, l’écosystème du paiement électronique n’est pas encore en place. Pour le cas du mobile, il a indiqué que s’il était très utilisé dans le transfert d’argent, ce n’est pas encore le cas pour le paiement. « L’utilisation du cash n’a pas faibli au cours de ces deux ans. Il n’y a pas encore de vraie démocratisation du mobile money».