Quitter la capitale à tout prix. Les gens veulent fuir Antananarivo à cause de la pandémie coronavirus. Suite à l’annonce du président de la République du dimanche soir, plusieurs personnes se sont ruées vers la gare routière d’Andohatapenaka pour acquérir le droit de sortie de la capitale, hier matin. La distance d’un mètre n’a plus été respectée. Les agents de l’Agence de transport terrestre étaient débordés. La plupart de ces personnes veulent rentrer dans leur village originaire. Les coopératives, sous l’ordre du ministère de tutelle, ont augmenté le tarif habituel. Pour partir à Mahajanga, les voyageurs doivent payer 60 000 ariary au lieu de 30 000 ariary. « Les voyageurs doivent payer le frais aller-retour car le taxi-brousse retournera vide. C’est la raison pour laquelle le tarif est doublé », explique Jean Claude Rakotoniaina, guichetier de la coopérative Cotrag. D’après le ministre des Transports, du tourisme et de la météorologie, Joël Randriamandranto, c’est le prix de carburant de retour qui est divisé au nombre des passagers et c’est la raison pour laquelle le tarif a pris une hausse.
Quitter la capitale à tout prix. Les gens veulent fuir Antananarivo à cause de la pandémie coronavirus. Suite à l’annonce du président de la République du dimanche soir, plusieurs personnes se sont ruées vers la gare routière d’Andohatapenaka pour acquérir le droit de sortie de la capitale, hier matin. La distance d’un mètre n’a plus été respectée. Les agents de l’Agence de transport terrestre étaient débordés. La plupart de ces personnes veulent rentrer dans leur village originaire. Les coopératives, sous l’ordre du ministère de tutelle, ont augmenté le tarif habituel. Pour partir à Mahajanga, les voyageurs doivent payer 60 000 ariary au lieu de 30 000 ariary. « Les voyageurs doivent payer le frais aller-retour car le taxi-brousse retournera vide. C’est la raison pour laquelle le tarif est doublé », explique Jean Claude Rakotoniaina, guichetier de la coopérative Cotrag. D’après le ministre des Transports, du tourisme et de la météorologie, Joël Randriamandranto, c’est le prix de carburant de retour qui est divisé au nombre des passagers et c’est la raison pour laquelle le tarif a pris une hausse.