Hier a été un rendez-vous pour les amateurs du football à propos du démarrage des travaux de rénovation du stade de Mahamasina. Baptisé « Stade Barea » dans sa nouvelle forme, le projet consistera à installer une infrastruc- ture de haute qualité dédiée au ballon rond. Toutefois, ce sont les ouvriers en quête de poste dans ce projet qui sont venus nombreux à Mahamasina dès la première heure. Une centaine d’ouvriers ont fait la queue devant le stade, hier matin. Des hommes qui sont prêts à se soumettre aux conditions des recruteurs se sont présentés au portail. Sans avoir été informés sur les détails de recrutement ni sur les postes à pourvoir, ces ouvriers se sont uniquement contentés à l’envergure du projet qui coûte la bagatelle de 280 milliards ariary. Aucune sélection des mains d’œuvre présentes sur place n’a été faite, hier. Le projet qui s’étalera sur dix-huit mois est confié à l’entreprise China State Construction Overseas Development (CSCOD). Avec un espoir d’être qualifiés parmi l’équipe de cette entreprise, ces hommes en quête de travail espèrent que la mise en œuvre du projet est une porte ouverte aux sources d’emplois. « Un responsable chinois qui a visité le lieu a déjà promis qu’il va y avoir un recrutement massif aujourd’hui. Mais jusqu’à midi, il n’est pas revenu », explique un père de famille. « Peut-être que les responsables sont en train de faire la mise au point avant de nous arracher du lieu », note un marchand ambulant qui occupe une place devant le jardin de Mahamasina.
Hier a été un rendez-vous pour les amateurs du football à propos du démarrage des travaux de rénovation du stade de Mahamasina. Baptisé « Stade Barea » dans sa nouvelle forme, le projet consistera à installer une infrastruc- ture de haute qualité dédiée au ballon rond. Toutefois, ce sont les ouvriers en quête de poste dans ce projet qui sont venus nombreux à Mahamasina dès la première heure. Une centaine d’ouvriers ont fait la queue devant le stade, hier matin. Des hommes qui sont prêts à se soumettre aux conditions des recruteurs se sont présentés au portail. Sans avoir été informés sur les détails de recrutement ni sur les postes à pourvoir, ces ouvriers se sont uniquement contentés à l’envergure du projet qui coûte la bagatelle de 280 milliards ariary. Aucune sélection des mains d’œuvre présentes sur place n’a été faite, hier. Le projet qui s’étalera sur dix-huit mois est confié à l’entreprise China State Construction Overseas Development (CSCOD). Avec un espoir d’être qualifiés parmi l’équipe de cette entreprise, ces hommes en quête de travail espèrent que la mise en œuvre du projet est une porte ouverte aux sources d’emplois. « Un responsable chinois qui a visité le lieu a déjà promis qu’il va y avoir un recrutement massif aujourd’hui. Mais jusqu’à midi, il n’est pas revenu », explique un père de famille. « Peut-être que les responsables sont en train de faire la mise au point avant de nous arracher du lieu », note un marchand ambulant qui occupe une place devant le jardin de Mahamasina.