La cour de l’école est vide. Le deuxième trimestre débute mal pour l’école primaire publique de Manakambahiny, hier. Après le drame qui s’est produit la nuit de vendredi, les élèves ne peuvent pas encore rejoindre leur classe. Un grand mur de pierre se dresse juste au dos de l’école. Le danger n’est pas écarté. Des rochers peuvent s’effondrer d’un moment à l’autre. L’évacuation est la solution rapide. La circonscription scolaire d’Antananarivo- Renivohitra décide de déplacer les élèves en classe d’examen au CEG Manakambahiny comme solution temporaire. Les autres élèves attendront encore la nouvelle disposition des responsables. « Nous n’avons pas encore trouvé d’autres endroits pour mettre les élèves d’autres niveaux pour le moment. Seules les classes d’examen ont été priorisées. Nous sommes encore en train de penser aux mesures que nous devons prendre. Les écoles publiques sont tous surchargées. Nous détections et surveillons de près les écoles qui sont en danger pour prendre les mesures à temps. Les écoles qui sont déjà vulnérables font des rapports auprès des Zap et du ministère de tutelle », explique Lalaina Ramananantony, chef Cisco Antananarivo-Renivohitra. Le ministère de l’Education nationale, l’enseignement technique et professionnel avec le chef district descendront dans cette EPP mercredi pour trouver des solutions.
La cour de l’école est vide. Le deuxième trimestre débute mal pour l’école primaire publique de Manakambahiny, hier. Après le drame qui s’est produit la nuit de vendredi, les élèves ne peuvent pas encore rejoindre leur classe. Un grand mur de pierre se dresse juste au dos de l’école. Le danger n’est pas écarté. Des rochers peuvent s’effondrer d’un moment à l’autre. L’évacuation est la solution rapide. La circonscription scolaire d’Antananarivo- Renivohitra décide de déplacer les élèves en classe d’examen au CEG Manakambahiny comme solution temporaire. Les autres élèves attendront encore la nouvelle disposition des responsables. « Nous n’avons pas encore trouvé d’autres endroits pour mettre les élèves d’autres niveaux pour le moment. Seules les classes d’examen ont été priorisées. Nous sommes encore en train de penser aux mesures que nous devons prendre. Les écoles publiques sont tous surchargées. Nous détections et surveillons de près les écoles qui sont en danger pour prendre les mesures à temps. Les écoles qui sont déjà vulnérables font des rapports auprès des Zap et du ministère de tutelle », explique Lalaina Ramananantony, chef Cisco Antananarivo-Renivohitra. Le ministère de l’Education nationale, l’enseignement technique et professionnel avec le chef district descendront dans cette EPP mercredi pour trouver des solutions.