En ce début d’année, la reprise reste souvent assez difficile, autant chez les fêtards que chez les artistes. Ceci-dit, à l’instar de l’illustre Mily Clément, quelques irréductibles n’en démordent pas pour continuellement faire danser le public. Même si l’ambiance était assez calme du côté du Jao’s Pub Ambohipo dans la soirée du vendredi, le chanteur de l’intemporel « Aza mandrora mitsilany » a assuré un show des plus chaleureux. Fidèle à lui-même, Mily Clément entame ainsi l’année avec le sourire sur la scène de l’antre du Roi du salegy. Les fidèles noctambules abonnés au Jao’s Pub Ambohipo, sont venus assister et soutenir le chanteur. Dans l’ensemble, cette première rencontre de l’année a tenu ses promesses de la part de Mily Clément. Lui qui, accompagné de ses musiciens, enchante son auditoire, s’est aussi plu à jouer d’un instrument tout au long de la soirée. Entre autres, en excellent à la guitare basse pour éblouir chaque morceau qu’il interprète. De « Tsy apetrako » à « Mandifera » en passant par l’incontournable « Banja malalaka », Mily Clément garde toujours de son dynamisme et ce au bout de plus d’un quart de siècle de carrière.
En ce début d’année, la reprise reste souvent assez difficile, autant chez les fêtards que chez les artistes. Ceci-dit, à l’instar de l’illustre Mily Clément, quelques irréductibles n’en démordent pas pour continuellement faire danser le public. Même si l’ambiance était assez calme du côté du Jao’s Pub Ambohipo dans la soirée du vendredi, le chanteur de l’intemporel « Aza mandrora mitsilany » a assuré un show des plus chaleureux. Fidèle à lui-même, Mily Clément entame ainsi l’année avec le sourire sur la scène de l’antre du Roi du salegy. Les fidèles noctambules abonnés au Jao’s Pub Ambohipo, sont venus assister et soutenir le chanteur. Dans l’ensemble, cette première rencontre de l’année a tenu ses promesses de la part de Mily Clément. Lui qui, accompagné de ses musiciens, enchante son auditoire, s’est aussi plu à jouer d’un instrument tout au long de la soirée. Entre autres, en excellent à la guitare basse pour éblouir chaque morceau qu’il interprète. De « Tsy apetrako » à « Mandifera » en passant par l’incontournable « Banja malalaka », Mily Clément garde toujours de son dynamisme et ce au bout de plus d’un quart de siècle de carrière.