Un changement de mentalité. Si aux premières années de l’indépendance, et même auparavant, l’idéal pour les jeunes malgaches était de devenir fonctionnaire, médecin ou instituteur, aujourd’hui ils aspirent à créer leur propre entreprise. Travailler pour soi et non pas pour les autres. Des concours ont été organisés pour primer et récompenser les meilleures idées ou les meilleurs entrepreneurs déjà en activités. Des structures d’accompagnement sur le plan financier ont vu le jour sous forme de crowdfunding. Des incubateurs offrent des conditions de travail adéquates pour l’éclosion de nouveaux talents. Mais ceux et celles qui ont lancé leur start-up, souvent à peine sortis de l’adolescence, ont pu se faire un en place au soleil, dans cette nouvelle configuration de l’entreprenariat des temps modernes, utilisant les subtilités des nouvelles technologies. Des pionniers malgaches en la matière ont déjà écrit leurs noms et prénoms en lettre d’or sur le continent africain et même dans le monde. Mais beaucoup n’ont pas eu la même réussite. Ils ont eu des difficultés, par exemple, à honorer les échéances des prêts bancaires. Souvent mis à disposition avec des taux d’intérêt rédhibitoires. Un des handicaps pour les initiatives en herbe. Le « Projet Fiahriana » initié par le président de la république Andry Rajoelina, d’un montant total de 50 millions de dollars, a été mis en place pour combler ces lacunes sur le plan des financements. D’autres structures, associant des établissements financiers, offrent aussi des possibilités d’emprunt sur des propositions qui méritent d’être soutenues. Une solution au chômage qui frappe la jeunesse. A condition de réussir dans la vie d’une en treprise privée. Et, peut-être, un coup de pouce pour la relance de l’économe globale, étouffée par le coronavirus. Nous vous proposons un échantillon de success story de start-up made in Madagascar. Des exemples à suivre pour les « aventuriers » du monde des affaires.
Un changement de mentalité. Si aux premières années de l’indépendance, et même auparavant, l’idéal pour les jeunes malgaches était de devenir fonctionnaire, médecin ou instituteur, aujourd’hui ils aspirent à créer leur propre entreprise. Travailler pour soi et non pas pour les autres. Des concours ont été organisés pour primer et récompenser les meilleures idées ou les meilleurs entrepreneurs déjà en activités. Des structures d’accompagnement sur le plan financier ont vu le jour sous forme de crowdfunding. Des incubateurs offrent des conditions de travail adéquates pour l’éclosion de nouveaux talents. Mais ceux et celles qui ont lancé leur start-up, souvent à peine sortis de l’adolescence, ont pu se faire un en place au soleil, dans cette nouvelle configuration de l’entreprenariat des temps modernes, utilisant les subtilités des nouvelles technologies. Des pionniers malgaches en la matière ont déjà écrit leurs noms et prénoms en lettre d’or sur le continent africain et même dans le monde. Mais beaucoup n’ont pas eu la même réussite. Ils ont eu des difficultés, par exemple, à honorer les échéances des prêts bancaires. Souvent mis à disposition avec des taux d’intérêt rédhibitoires. Un des handicaps pour les initiatives en herbe. Le « Projet Fiahriana » initié par le président de la république Andry Rajoelina, d’un montant total de 50 millions de dollars, a été mis en place pour combler ces lacunes sur le plan des financements. D’autres structures, associant des établissements financiers, offrent aussi des possibilités d’emprunt sur des propositions qui méritent d’être soutenues. Une solution au chômage qui frappe la jeunesse. A condition de réussir dans la vie d’une en treprise privée. Et, peut-être, un coup de pouce pour la relance de l’économe globale, étouffée par le coronavirus. Nous vous proposons un échantillon de success story de start-up made in Madagascar. Des exemples à suivre pour les « aventuriers » du monde des affaires.