Natanaela Mampiandry Rajerison remporte le premier prix du concours international d’éloquence organisé par l’université Senghor à Alexandrie, il s’agit d’une université internationale de la langue française au service du développement africain. Sous le thème: « Le rôle de la femme dans le développement africain », Natanaela Rajerison, une étudiante en droit de l’université d’Antananarivo, a su séduire les membres du jury dans son intervention de près de cinq minutes. « C’est le premier concours international auquel j’ai participé et le jury m’a décerné le prix, c’est grandiose pour moi », indique-t-elle. Elle a pu se qualifier en finale sur les cent-sept candidats participants issus de vingt pays différents. Faisant partie des huit finalistes, quatre femmes et quatre hommes, la représentante de Madagascar a détaillé en long et en large la place de la femme africaine dans la société et dans le développement. « J’ai rencontré des difficultés comme la gestion du temps. Le laps de temps qu’on nous a donné a été assez court. Je me suis trompée de jour pour la fin du délai alors j’ai dû réaliser une autre vidéo... », explique la lauréate.
Natanaela Mampiandry Rajerison remporte le premier prix du concours international d’éloquence organisé par l’université Senghor à Alexandrie, il s’agit d’une université internationale de la langue française au service du développement africain. Sous le thème: « Le rôle de la femme dans le développement africain », Natanaela Rajerison, une étudiante en droit de l’université d’Antananarivo, a su séduire les membres du jury dans son intervention de près de cinq minutes. « C’est le premier concours international auquel j’ai participé et le jury m’a décerné le prix, c’est grandiose pour moi », indique-t-elle. Elle a pu se qualifier en finale sur les cent-sept candidats participants issus de vingt pays différents. Faisant partie des huit finalistes, quatre femmes et quatre hommes, la représentante de Madagascar a détaillé en long et en large la place de la femme africaine dans la société et dans le développement. « J’ai rencontré des difficultés comme la gestion du temps. Le laps de temps qu’on nous a donné a été assez court. Je me suis trompée de jour pour la fin du délai alors j’ai dû réaliser une autre vidéo... », explique la lauréate.