Une usine à Tanjombato, un dispensaire à Manjakaray et une villa à Ankerana ont successivement pris feu, hier, en demi-journée. Intervention sans relâche des pompiers. Feu dévastateur. Les sapeurs - pompiers sont intervenus sur trois incendies successifs, à Tanjombato, à Manjakaray et à Ankerana, hier en demi-journée. Ils s’en sont sortis épuisés après avoir travaillé d’arrache-pied et sans relâche pour épargner des vies et des maisons de ces sinistres. Aucun blessé ni mort. Il était précisément 5h06 quand l’alerte a été donnée concernant le premier embrasement dans la zone industrielle Forello, à Tanjombato. L’usine de confection de vêtements Hefeng a été la proie des flammes. Aussitôt, vingtquatre soldats du feu issus des casernes de Tsaralalàna, d’Andravoahangy et d’Anosi- vavaka, se sont diligentés sur place. Bouchon Ils ont commencé à arroser les toits, les murs et l’intérieur du bâtiment vers 6h 40. La fournaise qui a détruit six pièces à l’étage a été éteinte à 7h 22. Heureusement qu’elle ne s’est pas propagée vers le rez-de-chaussée où se trouvent des machines. « Nous ignorons si ce serait une coïncidence ou pas, mais nous devrions percevoir notre salaire ce jour (ndlr : hier). Nos employeurs nous ont dit que les fiches de paie sont parties en fumée. Nous ne savons plus quoi faire et ce que nous allons devenir maintenant », déplore une ouvrière de Hefeng qui a attendu à l’extérieur avec des milliers de collègues ayant eu le cas pareil. De leur côté, les responsables de l’usine n’ont pas permis les journalistes d’y accéder en fermant la porte. L’origine de cet incendie reste alors inexpliquée. Les sapeurs-pompiers ont, tout de suite après, eu affaire à une terrible flambée à Manjakaray, à proximité de l’église adventiste. Cette fois, à 8h 36 précises, un dispensaire à étage, occupé par le pasteur, a pris feu. Parmi les cinq chambres de cette habitation, trois ont été les plus touchées. Les braises, sans faire de victime, ont également atteint le garage au plainpied. Deux autopompes ont été engagées pour les maîtriser. Vers midi, les pompiers sont encore sortis de leur caserne pour rejoindre Ankerana, où une villa basse de quatre pièces a été ravagée par le feu. Le bouchon a obstrué la circulation et retardé leur intervention, selon leurs explications. Pas de perte en vie humaine. La cause de cette tragédie n’a pas clairement été définie.
Une usine à Tanjombato, un dispensaire à Manjakaray et une villa à Ankerana ont successivement pris feu, hier, en demi-journée. Intervention sans relâche des pompiers. Feu dévastateur. Les sapeurs - pompiers sont intervenus sur trois incendies successifs, à Tanjombato, à Manjakaray et à Ankerana, hier en demi-journée. Ils s’en sont sortis épuisés après avoir travaillé d’arrache-pied et sans relâche pour épargner des vies et des maisons de ces sinistres. Aucun blessé ni mort. Il était précisément 5h06 quand l’alerte a été donnée concernant le premier embrasement dans la zone industrielle Forello, à Tanjombato. L’usine de confection de vêtements Hefeng a été la proie des flammes. Aussitôt, vingtquatre soldats du feu issus des casernes de Tsaralalàna, d’Andravoahangy et d’Anosi- vavaka, se sont diligentés sur place. Bouchon Ils ont commencé à arroser les toits, les murs et l’intérieur du bâtiment vers 6h 40. La fournaise qui a détruit six pièces à l’étage a été éteinte à 7h 22. Heureusement qu’elle ne s’est pas propagée vers le rez-de-chaussée où se trouvent des machines. « Nous ignorons si ce serait une coïncidence ou pas, mais nous devrions percevoir notre salaire ce jour (ndlr : hier). Nos employeurs nous ont dit que les fiches de paie sont parties en fumée. Nous ne savons plus quoi faire et ce que nous allons devenir maintenant », déplore une ouvrière de Hefeng qui a attendu à l’extérieur avec des milliers de collègues ayant eu le cas pareil. De leur côté, les responsables de l’usine n’ont pas permis les journalistes d’y accéder en fermant la porte. L’origine de cet incendie reste alors inexpliquée. Les sapeurs-pompiers ont, tout de suite après, eu affaire à une terrible flambée à Manjakaray, à proximité de l’église adventiste. Cette fois, à 8h 36 précises, un dispensaire à étage, occupé par le pasteur, a pris feu. Parmi les cinq chambres de cette habitation, trois ont été les plus touchées. Les braises, sans faire de victime, ont également atteint le garage au plainpied. Deux autopompes ont été engagées pour les maîtriser. Vers midi, les pompiers sont encore sortis de leur caserne pour rejoindre Ankerana, où une villa basse de quatre pièces a été ravagée par le feu. Le bouchon a obstrué la circulation et retardé leur intervention, selon leurs explications. Pas de perte en vie humaine. La cause de cette tragédie n’a pas clairement été définie.