Un député élu sous la bannière du parti Tiako i Madagasikara (TIM) se demande si la position du gouvernement sur l’ajournement des communales dissimule un calcul politique. Lors d’un meeting organisé dans le IVe arrondissement, le député Emilien Ramboa-salama a manifesté son point de vue. Pour ce député TIM, le fait de nommer un PDS à la tête de la Commune urbaine d’Antananarivo est catégoriquement inadmissible. Ainsi, le remplacement du maire Lalao Ravalomanana par un PDS est un autre sujet à débattre. Ce sera une occasion pour ouvrir un autre champ de bataille entre les dirigeants en place et le parti de l’ancien président Marc Ravalomanana, car selon les analystes de la vie politique, la décision de nomination d’un PDS est attaquable au sein de la juridiction compétente dont le Conseil d’Etat. D’après certains observateurs, le TIM se sent visé au cas où le gouvernement concrétise sa position de libérer les maires élus après l’expiration de leur mandat sans pouvoir procéder aux nouvelles élections. La nomination des PDS étant une voie faisable dans cette option. Aucune explication émanant du gouvernement n’a été avancée pour justifier sa position. Le fait de reporter les élections à une date indéterminée laisse entendre des interprétations dans le microcosme politique. Une campagne de manipulation d’opinion focalisée sur l’installation des PDS, commence à sonner.
Un député élu sous la bannière du parti Tiako i Madagasikara (TIM) se demande si la position du gouvernement sur l’ajournement des communales dissimule un calcul politique. Lors d’un meeting organisé dans le IVe arrondissement, le député Emilien Ramboa-salama a manifesté son point de vue. Pour ce député TIM, le fait de nommer un PDS à la tête de la Commune urbaine d’Antananarivo est catégoriquement inadmissible. Ainsi, le remplacement du maire Lalao Ravalomanana par un PDS est un autre sujet à débattre. Ce sera une occasion pour ouvrir un autre champ de bataille entre les dirigeants en place et le parti de l’ancien président Marc Ravalomanana, car selon les analystes de la vie politique, la décision de nomination d’un PDS est attaquable au sein de la juridiction compétente dont le Conseil d’Etat. D’après certains observateurs, le TIM se sent visé au cas où le gouvernement concrétise sa position de libérer les maires élus après l’expiration de leur mandat sans pouvoir procéder aux nouvelles élections. La nomination des PDS étant une voie faisable dans cette option. Aucune explication émanant du gouvernement n’a été avancée pour justifier sa position. Le fait de reporter les élections à une date indéterminée laisse entendre des interprétations dans le microcosme politique. Une campagne de manipulation d’opinion focalisée sur l’installation des PDS, commence à sonner.