Un élève est assis à chaque table. Le silence total règne dans la cour. Les candidats au BEPC du CEG Antanimena ont entamé la journée d’hier comme celui de l’examen officiel. L’examen blanc du BEPC a débuté par l’épreuve de malgache. Quinze CEG dans la circonscription d’Antananarivo en sont concernés. « Tous les CEG dans la Cisco d’Antananarivo participent à cet examen blanc. Les écoles privées sont libres de l’effectuer ou non. Le déroulement de l’examen a été abordé comme au jour J que ce soit la répartition des candidats dans les salles, ou les feuilles de copie », explique Ramarosandy, directeur du CEG Antanimena. Bien que le programme scolaire pour la classe de 3e soit déjà bouclé, certains candidats ont eu du mal à finir l’épreuve de malgache. La gestion de temps n’a pas été maîtrisée. « L’épreuve de ce matin est plutôt plus ardue que celle de l’année dernière. C’est la grammaire qui a été le plus difficile car nous avions à peine terminé les leçons. De plus, le temps ne suffisait pas pour répondre à toutes les questions. J’ai quand même fini l’expression écrite concernant l’insécurité alimentaire à Madagascar », affirme Ony Cathylène, élève de CEG Ampefiloha et redoublante.
Un élève est assis à chaque table. Le silence total règne dans la cour. Les candidats au BEPC du CEG Antanimena ont entamé la journée d’hier comme celui de l’examen officiel. L’examen blanc du BEPC a débuté par l’épreuve de malgache. Quinze CEG dans la circonscription d’Antananarivo en sont concernés. « Tous les CEG dans la Cisco d’Antananarivo participent à cet examen blanc. Les écoles privées sont libres de l’effectuer ou non. Le déroulement de l’examen a été abordé comme au jour J que ce soit la répartition des candidats dans les salles, ou les feuilles de copie », explique Ramarosandy, directeur du CEG Antanimena. Bien que le programme scolaire pour la classe de 3e soit déjà bouclé, certains candidats ont eu du mal à finir l’épreuve de malgache. La gestion de temps n’a pas été maîtrisée. « L’épreuve de ce matin est plutôt plus ardue que celle de l’année dernière. C’est la grammaire qui a été le plus difficile car nous avions à peine terminé les leçons. De plus, le temps ne suffisait pas pour répondre à toutes les questions. J’ai quand même fini l’expression écrite concernant l’insécurité alimentaire à Madagascar », affirme Ony Cathylène, élève de CEG Ampefiloha et redoublante.