Des malades du covid-19 sont sortis de la forme grave, au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Morafeno à Toamasina. Sur les neuf cas rapportés, il y a quelques jours, il n’en reste plus que six, hier, selon le dernier rapport du Centre de commandement opérationnel (CCO). «Des patients sont sortis de la salle de réanimation, certes, mais ils ne sont pas encore guéris. Ils sont traités dans d’autres services de l’hôpital où ils sont suivis pour éviter toute rechute. Il nous reste encore des patients à surveiller de près dans la salle de réanimation », informe un professionnel de santé de l’hôpital hier. L’équipe de réanimateurs de l’établissement est bien expérimentée, d’où ce résultat encourageant, affirme le gouverneur de la région Atsinanana. La Pr Hanta Marie Danielle Vololontiana, porte-parole du CCO, souligne, en outre, que «nos hôpitaux disposent du matériel nécessaire pour la prise en charge des personnes qui présentent une détresse respiratoire». Si les victimes de forme grave diminuent à Toamasina, elles sont en hausse à Antananarivo. Trois sont prises en charge dans les services du Centre hospitalier universitaire Joseph Raseta de Befelatànana (CHU JRB), hier. En général, elles souffrent de détresse respiratoire. Officiellement, Madagascar enregistre neuf cas de formes graves, à Antananarivo et à Toamasina. «C’est très peu », soulignent des médecins qui craignent des cas non identifiés dans la communauté.
Des malades du covid-19 sont sortis de la forme grave, au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Morafeno à Toamasina. Sur les neuf cas rapportés, il y a quelques jours, il n’en reste plus que six, hier, selon le dernier rapport du Centre de commandement opérationnel (CCO). «Des patients sont sortis de la salle de réanimation, certes, mais ils ne sont pas encore guéris. Ils sont traités dans d’autres services de l’hôpital où ils sont suivis pour éviter toute rechute. Il nous reste encore des patients à surveiller de près dans la salle de réanimation », informe un professionnel de santé de l’hôpital hier. L’équipe de réanimateurs de l’établissement est bien expérimentée, d’où ce résultat encourageant, affirme le gouverneur de la région Atsinanana. La Pr Hanta Marie Danielle Vololontiana, porte-parole du CCO, souligne, en outre, que «nos hôpitaux disposent du matériel nécessaire pour la prise en charge des personnes qui présentent une détresse respiratoire». Si les victimes de forme grave diminuent à Toamasina, elles sont en hausse à Antananarivo. Trois sont prises en charge dans les services du Centre hospitalier universitaire Joseph Raseta de Befelatànana (CHU JRB), hier. En général, elles souffrent de détresse respiratoire. Officiellement, Madagascar enregistre neuf cas de formes graves, à Antananarivo et à Toamasina. «C’est très peu », soulignent des médecins qui craignent des cas non identifiés dans la communauté.