Augmentation. C’est ce qu’annonce la société « Jiro sy rano Malagasy » (Jirama), à partir de ce mois de juin. Selon leurs contrats tarifaires, particuliers et industriels verront donc, leur facture d’électricité révisée à la hausse dès les consommations de ce mois de juin. Dans un communiqué, la société énergétique semi-étatique prévoit 9% pour les abonnés non résidentiels en mode tarifaire basse pression. Pour les clients hautes et moyennes tensions, une augmentation de 15% est prévue pour les industriels et 20% pour les autres abonnés moyennes tensions et non industriels. Dans ces prévisions de hausse des prix, seuls les consommateurs résidentiels abonnés au tarif basse tension sont épargnés. Lors de son entrée au ministère de l’Energie, le ministre Rodolphe Ramanantsoa a indiqué que concernant les tarifs d’électricité, il s’en remettrait à l’autorégulation. Dans sa missive, la Jirama table sur une autorisation de l’Office de régulation de l’électricité pour défendre sa décision d’augmentation des tarifs. Le communiqué indique même que la mission de cette entité « consiste à assurer la conciliation entre l’intérêt public, la protection des consommateurs et le traitement équitable des opérateurs en charge du service public ». Il n’est, toutefois, pas certain que cela suffise à convaincre des abonnés qui verront donc, s’ajouter aux délestages et coupures chroniques, une hausse des prix. La note sera encore plus salée. Garry Fabrice Ranaivoson
Augmentation. C’est ce qu’annonce la société « Jiro sy rano Malagasy » (Jirama), à partir de ce mois de juin. Selon leurs contrats tarifaires, particuliers et industriels verront donc, leur facture d’électricité révisée à la hausse dès les consommations de ce mois de juin. Dans un communiqué, la société énergétique semi-étatique prévoit 9% pour les abonnés non résidentiels en mode tarifaire basse pression. Pour les clients hautes et moyennes tensions, une augmentation de 15% est prévue pour les industriels et 20% pour les autres abonnés moyennes tensions et non industriels. Dans ces prévisions de hausse des prix, seuls les consommateurs résidentiels abonnés au tarif basse tension sont épargnés. Lors de son entrée au ministère de l’Energie, le ministre Rodolphe Ramanantsoa a indiqué que concernant les tarifs d’électricité, il s’en remettrait à l’autorégulation. Dans sa missive, la Jirama table sur une autorisation de l’Office de régulation de l’électricité pour défendre sa décision d’augmentation des tarifs. Le communiqué indique même que la mission de cette entité « consiste à assurer la conciliation entre l’intérêt public, la protection des consommateurs et le traitement équitable des opérateurs en charge du service public ». Il n’est, toutefois, pas certain que cela suffise à convaincre des abonnés qui verront donc, s’ajouter aux délestages et coupures chroniques, une hausse des prix. La note sera encore plus salée. Garry Fabrice Ranaivoson