L’hôpital à Anosiala continue à recevoir des personnes venant des pays affectés par le coronavirus. Les chambres de l’un de ses sites sont toutes occupées. Deux diplomates malgaches qui rentrent de la Corée du Sud ont été admis à l’hôpital d’Anosiala, hier après-midi. Ils se porteraient bien. Mais l’État exige la mise en quarantaine de toutes personnes en provenance des pays très affectés par le coronavirus, qu’elles soient malades ou non, pour éviter tout risque de contamination. La Corée du Sud est en première liste, après la Chine et devant l’Iran et l’Italie. Un problème de capacité d’accueil apparaît, avec cette hausse continuelle des personnes à isoler. Le premier site d’isolement de ce centre hospitalier universitaire (CHU) est plein, avec ces deux nouveaux venus. Douze personnes de cinq groupes différents y sont déjà en quarantaine. Un second site, composé de cinq chambres et de quatorze lits, est disponible. Mais une affluence de personnes présentant des signes suspects du Covid-19 ou celles présentant une dérogation spéciale, pourrait poser problème. L’hôpital ne pourra accueillir que cinq groupes de personnes, jusqu’à ce que d’autres chambres soient libérées. « Nous ne pouvons pas mettre dans une même chambre des personnes ayant voyagé séparément pour éviter tout risque de contamination, si jamais, la maladie évolue chez l’un des patients », explique le Dr Rado Razafimahatratra , directeur de l’établissement.
L’hôpital à Anosiala continue à recevoir des personnes venant des pays affectés par le coronavirus. Les chambres de l’un de ses sites sont toutes occupées. Deux diplomates malgaches qui rentrent de la Corée du Sud ont été admis à l’hôpital d’Anosiala, hier après-midi. Ils se porteraient bien. Mais l’État exige la mise en quarantaine de toutes personnes en provenance des pays très affectés par le coronavirus, qu’elles soient malades ou non, pour éviter tout risque de contamination. La Corée du Sud est en première liste, après la Chine et devant l’Iran et l’Italie. Un problème de capacité d’accueil apparaît, avec cette hausse continuelle des personnes à isoler. Le premier site d’isolement de ce centre hospitalier universitaire (CHU) est plein, avec ces deux nouveaux venus. Douze personnes de cinq groupes différents y sont déjà en quarantaine. Un second site, composé de cinq chambres et de quatorze lits, est disponible. Mais une affluence de personnes présentant des signes suspects du Covid-19 ou celles présentant une dérogation spéciale, pourrait poser problème. L’hôpital ne pourra accueillir que cinq groupes de personnes, jusqu’à ce que d’autres chambres soient libérées. « Nous ne pouvons pas mettre dans une même chambre des personnes ayant voyagé séparément pour éviter tout risque de contamination, si jamais, la maladie évolue chez l’un des patients », explique le Dr Rado Razafimahatratra , directeur de l’établissement.