A l’ambassade d’Iran à Antsakaviro, le drapeau est en berne actuellement. Visiblement, l’assassinat du général Soleimani , commandant des forces d’élites en Iran, plonge la représentation diplomatique iranienne à Antananarivo dans le deuil. Une dizaine de ressortissants iraniens vivent à Madagascar et plusieurs citoyens malgaches entament des demandes de visa vers l’Iran périodiquement. Des relations diplomatiques sont établies depuis trente-cinq ans entre Madagascar et l’Iran ; des études dans ce pays sont effectuées par des étudiants malgaches.« Trois jours de deuil national sont décrétés pour rendre hommage au général Soleimani », selon Hassan Ali Bakhshi, chargé d’Affaires au sein de l’ambassade iranienne. Revenant aux circonstances, ce diplomate indique que le commandant assassiné était très populaire dans son pays mais n’avait aucune visée politique. « On n’arrive pas à comprendre la raison qui a poussé le Président Trump à commanditer l’assassinat tel qu’il l’a affirmé lui-même », se demande Hassan Ali Bakhshi. Interrogé par rapport au poids de ce personnage, le diplomate iranien parle d’un « héros, icône de la lutte anti-terroriste, sans qui le terrorisme a déjà pris le monde entier entre les mains, c’est un soldat, un combattant qui déjà prié pour être un martyr ». Toutefois, malgré les rumeurs qui circulent beaucoup dans les réseaux sociaux, le chargé d’affaires iranien rassure que « son pays ne veut pas la guerre et est en bons termes avec les autres Ètats ».
A l’ambassade d’Iran à Antsakaviro, le drapeau est en berne actuellement. Visiblement, l’assassinat du général Soleimani , commandant des forces d’élites en Iran, plonge la représentation diplomatique iranienne à Antananarivo dans le deuil. Une dizaine de ressortissants iraniens vivent à Madagascar et plusieurs citoyens malgaches entament des demandes de visa vers l’Iran périodiquement. Des relations diplomatiques sont établies depuis trente-cinq ans entre Madagascar et l’Iran ; des études dans ce pays sont effectuées par des étudiants malgaches.« Trois jours de deuil national sont décrétés pour rendre hommage au général Soleimani », selon Hassan Ali Bakhshi, chargé d’Affaires au sein de l’ambassade iranienne. Revenant aux circonstances, ce diplomate indique que le commandant assassiné était très populaire dans son pays mais n’avait aucune visée politique. « On n’arrive pas à comprendre la raison qui a poussé le Président Trump à commanditer l’assassinat tel qu’il l’a affirmé lui-même », se demande Hassan Ali Bakhshi. Interrogé par rapport au poids de ce personnage, le diplomate iranien parle d’un « héros, icône de la lutte anti-terroriste, sans qui le terrorisme a déjà pris le monde entier entre les mains, c’est un soldat, un combattant qui déjà prié pour être un martyr ». Toutefois, malgré les rumeurs qui circulent beaucoup dans les réseaux sociaux, le chargé d’affaires iranien rassure que « son pays ne veut pas la guerre et est en bons termes avec les autres Ètats ».