« Tout au long de l’année, la pollution de l’air est moyenne, sauf dans les quartiers où il y a une forte circulation de véhicules. La qualité de l’air s’est fortement dégradée, depuis le mois d’octobre. Le taux de concentration des particules fines PM 2.5 dans l’air a augmenté six fois plus du seuil recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) » C’est l’alerte lancée par Zo Rakotomavo, chef du service des Recherches hydrométéorologiques, auprès de la direction générale de la Météorologie, jeudi, au cours d’une conférence de presse sur la pollution de l’air à Antananarivo. Les feux de brousse autour d’Antananarivo, la densité de la circulation des véhicules, la cuisson des briques, le brûlage des déchets, tout cela explique cette dégradation de l’air à Antananarivo, affirme le Dr Jean Claude Salama, directeur de la Gestion des pollutions et des déchets auprès du ministère de l’Environnement et du développement durable. La période sèche et la hausse des températures accentuent la dégradation de la qualité de l’air. À la fin du mois d’octobre, la qualité de l’air s’est améliorée grâce aux précipitations. La situation s’est vite dégradée. Les concentrations des particules fines PM2.5 sont trois fois supérieures au seuil recommandé par l’OMS au niveau d’Ampandrianomby, d’Ambohidahy, d’Andraharo, de Soanierana et d’Andranomena, depuis jeudi, selon le bulletin de surveillance de la qualité de l’air à Antananarivo, à la date du 4 novembre. La quantité de précipitations qui est tombée, ces derniers jours, n’aurait pas été suffisante pour éliminer les concentrations de particules fines dans l’air. La lutte contre les feux de brousse doit être renforcée, pour réduire la pollution de l’air. Le colonel Gelin Ranedson, directeur général de la Sécurité routière, donne le feu vert pour la sanction des véhicules dont le gaz d’échappement ne respecte pas les normes antipollution. Ce dernier invite, par ailleurs, les motards à entretenir leurs engins à deux roues pour diminuer les émissions de polluants.
« Tout au long de l’année, la pollution de l’air est moyenne, sauf dans les quartiers où il y a une forte circulation de véhicules. La qualité de l’air s’est fortement dégradée, depuis le mois d’octobre. Le taux de concentration des particules fines PM 2.5 dans l’air a augmenté six fois plus du seuil recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) » C’est l’alerte lancée par Zo Rakotomavo, chef du service des Recherches hydrométéorologiques, auprès de la direction générale de la Météorologie, jeudi, au cours d’une conférence de presse sur la pollution de l’air à Antananarivo. Les feux de brousse autour d’Antananarivo, la densité de la circulation des véhicules, la cuisson des briques, le brûlage des déchets, tout cela explique cette dégradation de l’air à Antananarivo, affirme le Dr Jean Claude Salama, directeur de la Gestion des pollutions et des déchets auprès du ministère de l’Environnement et du développement durable. La période sèche et la hausse des températures accentuent la dégradation de la qualité de l’air. À la fin du mois d’octobre, la qualité de l’air s’est améliorée grâce aux précipitations. La situation s’est vite dégradée. Les concentrations des particules fines PM2.5 sont trois fois supérieures au seuil recommandé par l’OMS au niveau d’Ampandrianomby, d’Ambohidahy, d’Andraharo, de Soanierana et d’Andranomena, depuis jeudi, selon le bulletin de surveillance de la qualité de l’air à Antananarivo, à la date du 4 novembre. La quantité de précipitations qui est tombée, ces derniers jours, n’aurait pas été suffisante pour éliminer les concentrations de particules fines dans l’air. La lutte contre les feux de brousse doit être renforcée, pour réduire la pollution de l’air. Le colonel Gelin Ranedson, directeur général de la Sécurité routière, donne le feu vert pour la sanction des véhicules dont le gaz d’échappement ne respecte pas les normes antipollution. Ce dernier invite, par ailleurs, les motards à entretenir leurs engins à deux roues pour diminuer les émissions de polluants.