Le président de la Ligue d’Analamanga de Football (ALFA) a été interpellé par les forces de l’ordre, samedi matin aux environs de 7h, à l’aéroport d’Ivato. Et ce, au moment où il allait embarquer pour un vol à destination de Sambava, en compagnie de ses homologues des autres ligues régionales, pour prendre part à l’assemblée générale élective de la Fédération Malgache de Football. Henintsoa « Tôta » Rakotoarimanana a, par la suite, été amené à Anosy. Il serait la cible d’une plainte pour abus de confiance et menace de mort. Quelques heures après son interpellation, il a été relâché. «Cinq minutes avant l’embarquement, les forces de l’ordres ont débarqué et m’ont signifié que je ne pouvais pas embarquer, en raison d’une plainte à mon encontre. Ils m’ont emmené au BC à Anosy. Par la suite, ils m’ont laissé partir et m’ont affirmé que l’enquête reprendrait une fois le scrutin fédéral bouclé», a-t-il expliqué. Tôta a nié en bloc les accusations dont il fait l’objet : «J’ai été relâché en fin de matinée. Toutefois, il n’y avait plus aucun moyen de transport à disposition pour rallier Sambava, sachant que j’ai raté le vol spécial de 7h… Ces accusations sont non fondées. Je n’ai jamais acheté un terrain à quiconque. Cette affaire n’en restera pas là car je compte bien me défendre. Pour moi, il s’agit seulement d’une manœuvre pour m’empêcher de prendre part au vote à Sambava. C’est vraiment triste d’en arriver à ça. La ligue d’Analamanga ne participera pas au processus électoral dans ces conditions», a-t-il conclu. Beaucoup voient cette affaire comme un coup politique. Une interprétation confirmée par une source proche du dossier, qui a martelé que «c’était tout simplement une manière de l’empêcher d’aller à Sambava et de jouer de son influence pour peser sur l’issue du scrutin», évoque une source bien informée.
Le président de la Ligue d’Analamanga de Football (ALFA) a été interpellé par les forces de l’ordre, samedi matin aux environs de 7h, à l’aéroport d’Ivato. Et ce, au moment où il allait embarquer pour un vol à destination de Sambava, en compagnie de ses homologues des autres ligues régionales, pour prendre part à l’assemblée générale élective de la Fédération Malgache de Football. Henintsoa « Tôta » Rakotoarimanana a, par la suite, été amené à Anosy. Il serait la cible d’une plainte pour abus de confiance et menace de mort. Quelques heures après son interpellation, il a été relâché. «Cinq minutes avant l’embarquement, les forces de l’ordres ont débarqué et m’ont signifié que je ne pouvais pas embarquer, en raison d’une plainte à mon encontre. Ils m’ont emmené au BC à Anosy. Par la suite, ils m’ont laissé partir et m’ont affirmé que l’enquête reprendrait une fois le scrutin fédéral bouclé», a-t-il expliqué. Tôta a nié en bloc les accusations dont il fait l’objet : «J’ai été relâché en fin de matinée. Toutefois, il n’y avait plus aucun moyen de transport à disposition pour rallier Sambava, sachant que j’ai raté le vol spécial de 7h… Ces accusations sont non fondées. Je n’ai jamais acheté un terrain à quiconque. Cette affaire n’en restera pas là car je compte bien me défendre. Pour moi, il s’agit seulement d’une manœuvre pour m’empêcher de prendre part au vote à Sambava. C’est vraiment triste d’en arriver à ça. La ligue d’Analamanga ne participera pas au processus électoral dans ces conditions», a-t-il conclu. Beaucoup voient cette affaire comme un coup politique. Une interprétation confirmée par une source proche du dossier, qui a martelé que «c’était tout simplement une manière de l’empêcher d’aller à Sambava et de jouer de son influence pour peser sur l’issue du scrutin», évoque une source bien informée.