« Mama joby », la vidéo du premier opus de Jaoscar est maintenant disponible sur Youtube. Il compte toucher son public avec ce produit. Au bout d’une semaine de mise en ligne, « Mama joby » enregistre déjà neuf-cent vues. « Ce n’est pas un record certes, mais ce constat me donne de l’espoir. J’avoue que j’ai misé le peu de moyens que j’avais sur ce clip, et j’espère qu’il touchera de plus en plus de gens », avoue l’artiste avec optimisme. Sur un fond d’Afro beat, Jaoscar raconte la situation inconfortable d’un homme et de son enfant, face au mauvais caractère de sa compagne qui ne fait que suivre son amant étranger. Une situation que certains hommes subissent au quotidien. « Je parle de ce que je vois dans la société. Certaines femmes prennent la vie de leur famille comme le cadet de leurs soucis, au profit de la vie mondaine. Cette chanson est comme une sorte de message, non seulement pour elles, mais aussi pour nous les hommes. Sinon, les enfants vont toujours souffrir », rajoute-t-il, concernant ce clip. Bercé par le salegy sur l’île de Nosy Be durant son enfance, Juca Jaohavy pour l’état civil, met la musique au centre de son intérêt. Il a remporté le concours organisé par l’USAID et l’association Fitia sur un concours de chant sensibilisant contre le trafic de personnes lorsqu’il était au collège. Après, le courant du rap l’a touché pour une belle expérience avec ses amis de campus, en composant des textes et des rythmes différents de ce qu’il a vécu. Maintenant, il semble trouver la couleur de musique qui correspond à son identité culturelle. « Mama Joby reflète mon feeling. Les seize titres que j’ai écrits et composés, se trouvent dans le même registre. Je suis à la recherche d’un collaborateur », conclut cet étudiant en Master II en droit public.
« Mama joby », la vidéo du premier opus de Jaoscar est maintenant disponible sur Youtube. Il compte toucher son public avec ce produit. Au bout d’une semaine de mise en ligne, « Mama joby » enregistre déjà neuf-cent vues. « Ce n’est pas un record certes, mais ce constat me donne de l’espoir. J’avoue que j’ai misé le peu de moyens que j’avais sur ce clip, et j’espère qu’il touchera de plus en plus de gens », avoue l’artiste avec optimisme. Sur un fond d’Afro beat, Jaoscar raconte la situation inconfortable d’un homme et de son enfant, face au mauvais caractère de sa compagne qui ne fait que suivre son amant étranger. Une situation que certains hommes subissent au quotidien. « Je parle de ce que je vois dans la société. Certaines femmes prennent la vie de leur famille comme le cadet de leurs soucis, au profit de la vie mondaine. Cette chanson est comme une sorte de message, non seulement pour elles, mais aussi pour nous les hommes. Sinon, les enfants vont toujours souffrir », rajoute-t-il, concernant ce clip. Bercé par le salegy sur l’île de Nosy Be durant son enfance, Juca Jaohavy pour l’état civil, met la musique au centre de son intérêt. Il a remporté le concours organisé par l’USAID et l’association Fitia sur un concours de chant sensibilisant contre le trafic de personnes lorsqu’il était au collège. Après, le courant du rap l’a touché pour une belle expérience avec ses amis de campus, en composant des textes et des rythmes différents de ce qu’il a vécu. Maintenant, il semble trouver la couleur de musique qui correspond à son identité culturelle. « Mama Joby reflète mon feeling. Les seize titres que j’ai écrits et composés, se trouvent dans le même registre. Je suis à la recherche d’un collaborateur », conclut cet étudiant en Master II en droit public.