Faneva Andriatsima annonce la couleur. « Contre le Sénégal, dimanche, ce sera un match de gala. La rencontre ne sera pas encore décisive dans la course à la qualification pour la CAN. Mais on parle ici d’un mondialiste. La formation sénégalaise a évolué depuis notre dernière confrontation, il y a deux ans. Nous aussi, nous avons progressé », lance le capitaine des Barea, en marge de l’entraînement d’hier. « Notre objectif est simple, c’est de gagner à Mahamasina. Si nous remportons les trois matches à domicile durant cette campagne, nous irons à la CAN. Ça fait longtemps que nous n’avons pas eu autant de chances de nous qualifier », poursuit-il. Pour précision, cette affiche entre dans le cadre de la deuxième journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations 2019. Un duel dont le vainqueur prendra la tête du groupe A, sachant que le Sénégal et Madagascar (3 pts) sont en tête actuellement, devant le Soudan et la Guinée Équatoriale (0 pt). Plusieurs joueurs ont été convoqués pour la première fois, à cette occasion. Et plusieurs joueront aussi pour la première fois au stade de Mahamasina. « Ils vont découvrir l’ambiance à Mahamasina. L’intégration des nouveaux se passe très bien. Avec Nicolas Dupuis, l’équipe fonctionne à merveille. L’atmosphère au sein du groupe est au top », rajoute Faneva Ima. Le capitaine des Barea vient tout juste de s’engager avec un nouveau club, en l’occurrence Clermont, en deuxième division française. Il revient en forme, après plusieurs mois difficiles. De bon augure pour la sélection. « J’ai pratiquement fait une saison blanche précédemment et j’ai dû affronter trois blessures, aux adducteurs, aux ischions et au genou. Physiquement et psychologiquement, c’était dur. Pour l’exercice 2018/19, j’ai effectué une préparation minutieuse et j’ai retrouvé mon niveau, sauf que je n’avais plus de temps de jeu au Havre. D’où ma décision de partir à Clermont. Là-bas, j’ai retrouvé cinq anciens coéquipiers. En une semaine, j’ai déjà disputé deux matches, preuve de la confiance qu’on m’y accorde », conclut-il.
Faneva Andriatsima annonce la couleur. « Contre le Sénégal, dimanche, ce sera un match de gala. La rencontre ne sera pas encore décisive dans la course à la qualification pour la CAN. Mais on parle ici d’un mondialiste. La formation sénégalaise a évolué depuis notre dernière confrontation, il y a deux ans. Nous aussi, nous avons progressé », lance le capitaine des Barea, en marge de l’entraînement d’hier. « Notre objectif est simple, c’est de gagner à Mahamasina. Si nous remportons les trois matches à domicile durant cette campagne, nous irons à la CAN. Ça fait longtemps que nous n’avons pas eu autant de chances de nous qualifier », poursuit-il. Pour précision, cette affiche entre dans le cadre de la deuxième journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations 2019. Un duel dont le vainqueur prendra la tête du groupe A, sachant que le Sénégal et Madagascar (3 pts) sont en tête actuellement, devant le Soudan et la Guinée Équatoriale (0 pt). Plusieurs joueurs ont été convoqués pour la première fois, à cette occasion. Et plusieurs joueront aussi pour la première fois au stade de Mahamasina. « Ils vont découvrir l’ambiance à Mahamasina. L’intégration des nouveaux se passe très bien. Avec Nicolas Dupuis, l’équipe fonctionne à merveille. L’atmosphère au sein du groupe est au top », rajoute Faneva Ima. Le capitaine des Barea vient tout juste de s’engager avec un nouveau club, en l’occurrence Clermont, en deuxième division française. Il revient en forme, après plusieurs mois difficiles. De bon augure pour la sélection. « J’ai pratiquement fait une saison blanche précédemment et j’ai dû affronter trois blessures, aux adducteurs, aux ischions et au genou. Physiquement et psychologiquement, c’était dur. Pour l’exercice 2018/19, j’ai effectué une préparation minutieuse et j’ai retrouvé mon niveau, sauf que je n’avais plus de temps de jeu au Havre. D’où ma décision de partir à Clermont. Là-bas, j’ai retrouvé cinq anciens coéquipiers. En une semaine, j’ai déjà disputé deux matches, preuve de la confiance qu’on m’y accorde », conclut-il.