Droit dans ses bottes, le Président n’a pas sourcillé, n’a pas sourcillé pour expliquer aux habitants de Maroantsetra et Mananara Avaratra sa position sur le commerce de la vanille. Il accepte néanmoins la libéralisation voulue par les acteurs. Incontournable. Impossible pour Andry Rajoelina, président de la République, de passer outre le dossier épineux de la vanille, lors de son escapade à Maroantsetra et Mananara Avaratra, samedi et dimanche. Bien que moins réputés, que ceux de la région Sava, les districts de Maroantsetra et Mananara Avaratra sont également de grands producteurs de vanille. Tout comme d’autres circonscriptions dans le Nord du pays. Les acteurs du secteur, y subissent aussi de plein fouet les conséquences de la zone de turbulence dans laquelle se trouve le commerce de la vanille. Le déplacement présidentiel sur place a ainsi été une occasion pour expliquer de vive voix sa position sur la question et ce qui a amené à la décision de libéraliser le secteur. “Parfois, les citoyens ne comprennent pas les décisions prises. Je tiens à souligner, toutefois, que je suis un des premiers à défendre les intérêts des agriculteurs. La défense des planteurs est ma priorité”, explique le locataire d’Iavoloha. Il reconnaît que le commerce de la vanille traverse des moments difficiles, “mais je fais partie de ceux qui veulent que ce secteur prospère. (...) Nous travaillons d’arrache-pied. Nous n’arrêterons pas jusqu’à ce que le secteur se redresse”, soutient-il. Face aux habitants de Maroantsetra, Andry Rajoelina a ainsi expliqué pourquoi le prix plancher de 75.000 ariary le kilo pour la vanille verte a été fixé. Ici encore, la protection des intérêts des planteurs est le motif. Se trouvant au tout début de la chaîne du commerce de la vanille, ces derniers sont les plus mal lotis.
Droit dans ses bottes, le Président n’a pas sourcillé, n’a pas sourcillé pour expliquer aux habitants de Maroantsetra et Mananara Avaratra sa position sur le commerce de la vanille. Il accepte néanmoins la libéralisation voulue par les acteurs. Incontournable. Impossible pour Andry Rajoelina, président de la République, de passer outre le dossier épineux de la vanille, lors de son escapade à Maroantsetra et Mananara Avaratra, samedi et dimanche. Bien que moins réputés, que ceux de la région Sava, les districts de Maroantsetra et Mananara Avaratra sont également de grands producteurs de vanille. Tout comme d’autres circonscriptions dans le Nord du pays. Les acteurs du secteur, y subissent aussi de plein fouet les conséquences de la zone de turbulence dans laquelle se trouve le commerce de la vanille. Le déplacement présidentiel sur place a ainsi été une occasion pour expliquer de vive voix sa position sur la question et ce qui a amené à la décision de libéraliser le secteur. “Parfois, les citoyens ne comprennent pas les décisions prises. Je tiens à souligner, toutefois, que je suis un des premiers à défendre les intérêts des agriculteurs. La défense des planteurs est ma priorité”, explique le locataire d’Iavoloha. Il reconnaît que le commerce de la vanille traverse des moments difficiles, “mais je fais partie de ceux qui veulent que ce secteur prospère. (...) Nous travaillons d’arrache-pied. Nous n’arrêterons pas jusqu’à ce que le secteur se redresse”, soutient-il. Face aux habitants de Maroantsetra, Andry Rajoelina a ainsi expliqué pourquoi le prix plancher de 75.000 ariary le kilo pour la vanille verte a été fixé. Ici encore, la protection des intérêts des planteurs est le motif. Se trouvant au tout début de la chaîne du commerce de la vanille, ces derniers sont les plus mal lotis.