85% des personnes en situation de handicap (PSH) moteurs et physiques sont les plus confrontés aux discriminations dans le milieu de travail et dans la vie en société. 1,8 millions de personnes sont en situation de handicap de Madagascar. 7,5% de la population totale. 37,5% des PSH sont des enfants de moins de 18 ans et seulement 11,3% d’entre eux fréquentent l’établissement scolaire formel. Ces chiffres ont été les échantillons des résultats publiés dans le bulletin d’études sur l’employabilité et l’inclusion PSH dans la vie active présenté, hier au Centre national de formation professionnelle des personnes en situation de handicap (CNFPPSH) Ampandrianomby. Ce travail a été effectué en collaboration avec l’Office national de l’emploi et de la formation (ONEF) avec le ministère de l’Education nationale, de l’enseignement technique et professionnelle, ministère de la Population, de la protection sociale et de la promotion de la femme dans les régions Analamanga et Vakinankaratra. Beaucoup d’entreprises excluent encore les PSH à cause de l’insuffisance de qualification et de compétences exigées, le manque d’accompagnement ou les infrastructures inadaptées. « Peu importe leur situation, ils sont toujours des citoyens malgaches et portent aussi leur contribution au développement. Sinon ils deviendront des fardeaux pour le pays. C’est la raison pour laquelle nous incitons toujours les entreprises à considérer les PSH.», explique Thimoléon Rakotoarisoa, secrétaire générale du ministère du Travail, de l’emploi, de la fonction publique et des lois sociales.
85% des personnes en situation de handicap (PSH) moteurs et physiques sont les plus confrontés aux discriminations dans le milieu de travail et dans la vie en société. 1,8 millions de personnes sont en situation de handicap de Madagascar. 7,5% de la population totale. 37,5% des PSH sont des enfants de moins de 18 ans et seulement 11,3% d’entre eux fréquentent l’établissement scolaire formel. Ces chiffres ont été les échantillons des résultats publiés dans le bulletin d’études sur l’employabilité et l’inclusion PSH dans la vie active présenté, hier au Centre national de formation professionnelle des personnes en situation de handicap (CNFPPSH) Ampandrianomby. Ce travail a été effectué en collaboration avec l’Office national de l’emploi et de la formation (ONEF) avec le ministère de l’Education nationale, de l’enseignement technique et professionnelle, ministère de la Population, de la protection sociale et de la promotion de la femme dans les régions Analamanga et Vakinankaratra. Beaucoup d’entreprises excluent encore les PSH à cause de l’insuffisance de qualification et de compétences exigées, le manque d’accompagnement ou les infrastructures inadaptées. « Peu importe leur situation, ils sont toujours des citoyens malgaches et portent aussi leur contribution au développement. Sinon ils deviendront des fardeaux pour le pays. C’est la raison pour laquelle nous incitons toujours les entreprises à considérer les PSH.», explique Thimoléon Rakotoarisoa, secrétaire générale du ministère du Travail, de l’emploi, de la fonction publique et des lois sociales.