Alors que le cyclone Batsirai n’est prévu toucher terre que ce jour, une évacuation préventive a été déjà opérée dans la ville de Manakara. Des sinistrés, notamment ceux qui habitent près de la mer, ont dû plier bagage pour aller vers les sites d’hébergement. « Dans un site du lycée, trois cents personnes se réfugient. La plupart sont exposés à des risques par rapport à leurs maisons qui sont fortement à risque », indique une source sur place. Les sites d’hébergement commencent peu à peu à recueillir du monde depuis hier. Les bandes périphériques de Batsirai notamment, touchent déjà la partie Est, causant une dégradation progressive des conditions météorologiques. Des pluies intermittentes avec quelques coups de vent animent la journée à Manakara. Les houles cycloniques sont déjà visibles sur les côtes. « Les vagues atteignent les 3 à 4 mètres de hauteur. Une digue qui a été construite pour en faire une plage a été déjà engloutie sous la mer », constate la source. Néanmoins, la préparation continue pour les habitants. Ils ont commencé à faire des travaux d’élagage des arbres. Les cours ont été suspendus suivant le conseil des ministres en date de mercredi. Seuls ceux qui occupent des fonctions essentielles ont travaillé hier.
Alors que le cyclone Batsirai n’est prévu toucher terre que ce jour, une évacuation préventive a été déjà opérée dans la ville de Manakara. Des sinistrés, notamment ceux qui habitent près de la mer, ont dû plier bagage pour aller vers les sites d’hébergement. « Dans un site du lycée, trois cents personnes se réfugient. La plupart sont exposés à des risques par rapport à leurs maisons qui sont fortement à risque », indique une source sur place. Les sites d’hébergement commencent peu à peu à recueillir du monde depuis hier. Les bandes périphériques de Batsirai notamment, touchent déjà la partie Est, causant une dégradation progressive des conditions météorologiques. Des pluies intermittentes avec quelques coups de vent animent la journée à Manakara. Les houles cycloniques sont déjà visibles sur les côtes. « Les vagues atteignent les 3 à 4 mètres de hauteur. Une digue qui a été construite pour en faire une plage a été déjà engloutie sous la mer », constate la source. Néanmoins, la préparation continue pour les habitants. Ils ont commencé à faire des travaux d’élagage des arbres. Les cours ont été suspendus suivant le conseil des ministres en date de mercredi. Seuls ceux qui occupent des fonctions essentielles ont travaillé hier.