Signe d’espoir. La radiothérapie au niveau du centre hospitalier universitaire de Befelatanana est fonctionnelle depuis la première semaine du mois de janvier. Huit personnes par jour effectuent des traitements selon professeur Olivat Rakoto Alson, directeur de l’hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona. Cette radiothérapie, sous l’égide de la HJRA, a été offerte par le gouvernement indien dans l’appui dans le secteur de la santé à Madagascar. L’Etat ne possédait pas de radiothérapie depuis plus de dix ans. Seule la radiothérapie de la polyclinique d’Ilafy traitait des cas ayant besoin de cette machine, dont les séances au complet s’élèvent à 10 millions d’ariary. Le cancer est l’une des maladies qui causent, jusqu’à 30%, la mortalité féminine dans le pays. Son évolution est parfois silencieuse, et une personne n’est souvent au courant de l’état de santé qu’au stade avancé. Mille six cent nouveaux cas de cancer traités dans les hôpitaux, chaque année selon la statistique évoquée par le ministère de la Santé publique dont 50% en sont des cancers gynécologiques. Le recours à la chimiothérapie est le plus fréquent, mais hors de la portée des patients. Des malades n’arrivent pas à se soigner complètement par manque de moyen financier. Une séance de chimiothérapie coûte 300 000 ariary. Or la chimiothérapie doit être effectuée deux ou trois fois de séance, selon l’évolution du cancer.
Signe d’espoir. La radiothérapie au niveau du centre hospitalier universitaire de Befelatanana est fonctionnelle depuis la première semaine du mois de janvier. Huit personnes par jour effectuent des traitements selon professeur Olivat Rakoto Alson, directeur de l’hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona. Cette radiothérapie, sous l’égide de la HJRA, a été offerte par le gouvernement indien dans l’appui dans le secteur de la santé à Madagascar. L’Etat ne possédait pas de radiothérapie depuis plus de dix ans. Seule la radiothérapie de la polyclinique d’Ilafy traitait des cas ayant besoin de cette machine, dont les séances au complet s’élèvent à 10 millions d’ariary. Le cancer est l’une des maladies qui causent, jusqu’à 30%, la mortalité féminine dans le pays. Son évolution est parfois silencieuse, et une personne n’est souvent au courant de l’état de santé qu’au stade avancé. Mille six cent nouveaux cas de cancer traités dans les hôpitaux, chaque année selon la statistique évoquée par le ministère de la Santé publique dont 50% en sont des cancers gynécologiques. Le recours à la chimiothérapie est le plus fréquent, mais hors de la portée des patients. Des malades n’arrivent pas à se soigner complètement par manque de moyen financier. Une séance de chimiothérapie coûte 300 000 ariary. Or la chimiothérapie doit être effectuée deux ou trois fois de séance, selon l’évolution du cancer.