Ces trois dernières années ont été saillantes pour la Grande île, en matière de crimes contre les personnes, comprenant l’homicide volontaire et involontaire, coups et blessures volontaires, et viol. Pour celui-ci, le nombre de victimes n’a pas beaucoup changé. Il a, en fait, connu une fine baisse. Les statistiques fraîchement fournies par le service de communication et des relations publiques auprès du commandement de la gendarmerie nationale font état de quatre cent cinquante-neuf victimes en 2016, quatre cent cinquante-trois en 2017 et quatre cent cinquante-deux, l’année dernière. Les arrestations et condamnations pour ces quatre types d’actes criminels ont, par ailleurs, augmenté en 2018, avec deux mille deux cent soixante et onze auteurs traduits devant la justice. C’était presque la moitié pour les deux années précédentes, selon toujours le bilan chiffré de la gendarmerie. « Il resterait encore d’autres attentats à la pudeur non signalés dans la société. Cela semble principalement, pour les parents, un sujet hyper délicat », a expliqué un officier supérieur de la gendarmerie.
Ces trois dernières années ont été saillantes pour la Grande île, en matière de crimes contre les personnes, comprenant l’homicide volontaire et involontaire, coups et blessures volontaires, et viol. Pour celui-ci, le nombre de victimes n’a pas beaucoup changé. Il a, en fait, connu une fine baisse. Les statistiques fraîchement fournies par le service de communication et des relations publiques auprès du commandement de la gendarmerie nationale font état de quatre cent cinquante-neuf victimes en 2016, quatre cent cinquante-trois en 2017 et quatre cent cinquante-deux, l’année dernière. Les arrestations et condamnations pour ces quatre types d’actes criminels ont, par ailleurs, augmenté en 2018, avec deux mille deux cent soixante et onze auteurs traduits devant la justice. C’était presque la moitié pour les deux années précédentes, selon toujours le bilan chiffré de la gendarmerie. « Il resterait encore d’autres attentats à la pudeur non signalés dans la société. Cela semble principalement, pour les parents, un sujet hyper délicat », a expliqué un officier supérieur de la gendarmerie.