Quelque peu chassé par les événements et par les actions de la Primature, le navire dénommé « Flying » revient. Depuis lundi, suspecté d’attendre la livraison d’une cargaison importante de cent tonnes de bois de rose en provenance de Mananara nord depuis déjà plusieurs semaines, Flying est intercepté non loin de Vohémar. « Le navire semble être parti de la zone économique exclusive malgache après avoir été mis au courant de l’ordre du premier ministre, Christian Ntsay d’engager des patrouilles jour et nuit dans cette zone », indique une source. Une délégation de la primature, avec la Gendarmerie a été dépêchée à Maroantsetra afin de vérifier le stock de bois de rose. Celle-ci a déclaré n’avoir trouvé rien de suspect. Les autorités locales confirment également que rien n’est anormal au niveau du stock de Maroantsetra, mais qu’un seul opérateur a demandé auprès du ministère de l’Environnement, de l’écologie et des forêts de déplacer son stock de peur d’être emporté par la mer. Une autre source indique en revanche, que des membres de cette délégation n’ont pas présenté d’ordre de mission claire pour pouvoir effectuer cette vérification de stock de bois de rose à Maroantsetra. La compagnie de gendarmerie de Vohémar dit ne pas encore constater de mouvements suspects.
Quelque peu chassé par les événements et par les actions de la Primature, le navire dénommé « Flying » revient. Depuis lundi, suspecté d’attendre la livraison d’une cargaison importante de cent tonnes de bois de rose en provenance de Mananara nord depuis déjà plusieurs semaines, Flying est intercepté non loin de Vohémar. « Le navire semble être parti de la zone économique exclusive malgache après avoir été mis au courant de l’ordre du premier ministre, Christian Ntsay d’engager des patrouilles jour et nuit dans cette zone », indique une source. Une délégation de la primature, avec la Gendarmerie a été dépêchée à Maroantsetra afin de vérifier le stock de bois de rose. Celle-ci a déclaré n’avoir trouvé rien de suspect. Les autorités locales confirment également que rien n’est anormal au niveau du stock de Maroantsetra, mais qu’un seul opérateur a demandé auprès du ministère de l’Environnement, de l’écologie et des forêts de déplacer son stock de peur d’être emporté par la mer. Une autre source indique en revanche, que des membres de cette délégation n’ont pas présenté d’ordre de mission claire pour pouvoir effectuer cette vérification de stock de bois de rose à Maroantsetra. La compagnie de gendarmerie de Vohémar dit ne pas encore constater de mouvements suspects.