Dimanche, l’émoi s’est emparé des habitants d’Antanety-Vontovorona. Ils ont découvert le corps sans vie d’un homme. Ce jour-là, il était 14h55, la gendarmerie locale a été avisée des faits. Elle est venue faire le constat avec un médecin. Trois filles ont repéré en premier le défunt dans un petit canal. La victime a été remontée pour être identifiée. Il habitait à proximité, un simple cultivateur. Il avait 35 ans. À première vue, plusieurs traces de coups d’armes contondantes ont été relevées sur la partie droite de sa tête. Sa tempe portait une plaie profonde. Les premiers indices recueillis par les gendarmes et l’examen médical réalisé sur place portent immédiatement à croire un meurtre odieux. « Le trentenaire aurait été assassiné. Il reste à savoir s’il avait été tué quelque part avant d’être déposé dans le canal où il avait été abattu sur place. Il est difficile à imaginer qu’il ait eu toutes ces blessures en tombant dans ce ruisseau », suppose-t-on. Le mobile du crime laisse encore perplexe. La gendarmerie affirme être au cœur de l’enquête. Elle n’a toujours ciblé aucun suspect.
Dimanche, l’émoi s’est emparé des habitants d’Antanety-Vontovorona. Ils ont découvert le corps sans vie d’un homme. Ce jour-là, il était 14h55, la gendarmerie locale a été avisée des faits. Elle est venue faire le constat avec un médecin. Trois filles ont repéré en premier le défunt dans un petit canal. La victime a été remontée pour être identifiée. Il habitait à proximité, un simple cultivateur. Il avait 35 ans. À première vue, plusieurs traces de coups d’armes contondantes ont été relevées sur la partie droite de sa tête. Sa tempe portait une plaie profonde. Les premiers indices recueillis par les gendarmes et l’examen médical réalisé sur place portent immédiatement à croire un meurtre odieux. « Le trentenaire aurait été assassiné. Il reste à savoir s’il avait été tué quelque part avant d’être déposé dans le canal où il avait été abattu sur place. Il est difficile à imaginer qu’il ait eu toutes ces blessures en tombant dans ce ruisseau », suppose-t-on. Le mobile du crime laisse encore perplexe. La gendarmerie affirme être au cœur de l’enquête. Elle n’a toujours ciblé aucun suspect.