Eric et compères ont, une fois de plus, marqué l’univers du rock dans la nuit du vendredi. Fougue et déchaînement remplissaient le dôme de la RTA à Ankorondrano. Les aficionados du rock sont venus honorer le rendez-vous proposé par le groupe. Cependant, malgré une timide affluence, Tselatra a tout de même mis le paquet. À tambour battant, le leader vocal entre sur scène. Étonnement, la ponctualité a été respectée pour cette énième représentation lorsqu’on connaît les habitudes du groupe concernant ce point. Ainsi, C’est avec le froid hivernal sévissant dans la capitale que Tselatra a chauffé le sombre dôme d’Ankorondrano. L’ambiance est toujours chaleureuse. Les brochettes se préparent sous les chapiteaux dehors, tandis que les boissons officielles se vendent à l’arraché à l’entrée des lieux. Dans la salle, les plus passionnés s’amassent sur le devant de la scène tandis que les rares curieux, plus modérés, apprécient le spectacle au fond, sur les gradins. La faible affluence mise à part, l’ensemble du spectacle pouvait être qualifié de belle œuvre. Évidemment, l’entame s’est faite avec le fameux « Manantena an’iza ». Au bout de quelques riffs, les fans sont totalement dans l’ambiance. Par une musique à la fois hargneuse et mélodique, Eric envoute certains et en électrise d’autres. Il suffira de quatre guitares avec distorsion et une batterie pour que le chanteur explose littéralement la scène dans une cacophonie monstre. Il est facile de deviner à travers le désordre capillaire du chanteur ainsi que de ces fans au-devant de la scène que le pari est encore réussi pour le groupe. Tout le monde a eu son compte. Contrairement au dernier concert du groupe au même endroit, aucune remarque désobligeante ne s’est fait entendre de la part du public, cette fois-ci. « Sur tous les points, le show est nettement mieux que celui de l’année dernière, sauf peut être au niveau du public moins nombreux », nous confie Mahery Ratsimandresy, un inconditionnel du groupe. H.R
Eric et compères ont, une fois de plus, marqué l’univers du rock dans la nuit du vendredi. Fougue et déchaînement remplissaient le dôme de la RTA à Ankorondrano. Les aficionados du rock sont venus honorer le rendez-vous proposé par le groupe. Cependant, malgré une timide affluence, Tselatra a tout de même mis le paquet. À tambour battant, le leader vocal entre sur scène. Étonnement, la ponctualité a été respectée pour cette énième représentation lorsqu’on connaît les habitudes du groupe concernant ce point. Ainsi, C’est avec le froid hivernal sévissant dans la capitale que Tselatra a chauffé le sombre dôme d’Ankorondrano. L’ambiance est toujours chaleureuse. Les brochettes se préparent sous les chapiteaux dehors, tandis que les boissons officielles se vendent à l’arraché à l’entrée des lieux. Dans la salle, les plus passionnés s’amassent sur le devant de la scène tandis que les rares curieux, plus modérés, apprécient le spectacle au fond, sur les gradins. La faible affluence mise à part, l’ensemble du spectacle pouvait être qualifié de belle œuvre. Évidemment, l’entame s’est faite avec le fameux « Manantena an’iza ». Au bout de quelques riffs, les fans sont totalement dans l’ambiance. Par une musique à la fois hargneuse et mélodique, Eric envoute certains et en électrise d’autres. Il suffira de quatre guitares avec distorsion et une batterie pour que le chanteur explose littéralement la scène dans une cacophonie monstre. Il est facile de deviner à travers le désordre capillaire du chanteur ainsi que de ces fans au-devant de la scène que le pari est encore réussi pour le groupe. Tout le monde a eu son compte. Contrairement au dernier concert du groupe au même endroit, aucune remarque désobligeante ne s’est fait entendre de la part du public, cette fois-ci. « Sur tous les points, le show est nettement mieux que celui de l’année dernière, sauf peut être au niveau du public moins nombreux », nous confie Mahery Ratsimandresy, un inconditionnel du groupe. H.R