Dans un communiqué publié hier, Amnesty International (AI) plaide pour un allégement urgent de la population carcérale face au risque de propagation du coronavirus. « Dans le contexte de la pandémie du covid-19 et vu la forte population carcérale, Amnesty International exhorte le gouvernement de Madagascar à envisager d’urgence des mesures visant à désengorger ses prisons », indique le communiqué de presse de cette organisation internationale non gouvernementale. Elle ajoute que les mesures que les autorités ont prises pour empêcher la propagation du virus dans les prisons, « (…) ne suffiront pas à protéger les détenus contre la pandémie, en raison de la forte population ». Dans son plaidoyer, Al propose un profil de détenus pouvant, selon elle, bénéficier du désengorgement des prisons qu’elle requiert. Il s’agit des « (…) détenus en attente de jugement et de ceux qui pourraient présenter un risque accru de contracter le virus, notamment les prisonniers âgés et ceux qui présentent des problèmes de santé sous-jacents », d’après la missive. Outre la promiscuité des détenus, « le manque d’accès à la nourriture et à des soins de santé pendant leur détention », sont les arguments soulevés par Amnesty International pour souligner la vulnérabilité des personnes en prison.
Dans un communiqué publié hier, Amnesty International (AI) plaide pour un allégement urgent de la population carcérale face au risque de propagation du coronavirus. « Dans le contexte de la pandémie du covid-19 et vu la forte population carcérale, Amnesty International exhorte le gouvernement de Madagascar à envisager d’urgence des mesures visant à désengorger ses prisons », indique le communiqué de presse de cette organisation internationale non gouvernementale. Elle ajoute que les mesures que les autorités ont prises pour empêcher la propagation du virus dans les prisons, « (…) ne suffiront pas à protéger les détenus contre la pandémie, en raison de la forte population ». Dans son plaidoyer, Al propose un profil de détenus pouvant, selon elle, bénéficier du désengorgement des prisons qu’elle requiert. Il s’agit des « (…) détenus en attente de jugement et de ceux qui pourraient présenter un risque accru de contracter le virus, notamment les prisonniers âgés et ceux qui présentent des problèmes de santé sous-jacents », d’après la missive. Outre la promiscuité des détenus, « le manque d’accès à la nourriture et à des soins de santé pendant leur détention », sont les arguments soulevés par Amnesty International pour souligner la vulnérabilité des personnes en prison.