Après le grave incendie du samedi à Anjanahary, les sinistrés n’ont rien pour survivre. Ils lancent un appel à l’aide. Clarita, une mère de famille de 19 ans tient son enfant dans ses bras, les larmes aux yeux, hier dans la matinée, témoignant de son calvaire, elle évoque les circonstances du drame lors de l’incendie qui s’est déroulé ce samedi à Anjanahary. « Tout est parti en fumée », témoigne Clarita, une des sinistrés. Elle venait d’Ambohidratrimo, à Manjakandriana. « C’est vers l’après midi, au moment même où je vendais un sac de charbon. On m’a aussitôt appelé pour sortir de ma maison puisque le feu s’étendait au niveau de cases en bois voisines. Prise de panique, je n’avais pas pu emporter que ma carte d’identité nationale », poursuit-elle. Comme d’autres sinistrés, Clarita vivait dans une maisonnette en bois qu’elle loue avec son mari et son enfant de sept mois, avant le drame. « On a tout perdu ; une cinquantaine de sacs de charbon à vendre a été réduit en cendres. Il ne nous reste que cinq à six sacs », explique, Rijatiana Rakotoniaina , le mari de Clarita. C’est le même cas pour les autres sinistrés, l’heure est grave. « Nous faisons appel aux actes de bon cœur pour nous épauler dans ce moment difficile », rajoute-t-il. Doléance Roger, une personne âgée parmi les victimes explique. « Je vis avec mes deux enfants et ma femme dans cette maison brûlée par l’incendie. Toutes nos économies se sont envolées. Actuellement, je suis hébergé par un de mes enfants ». Des appuis ont été reçus auprès des responsables étatiques. Le bilan est lourd, vu que le fokontany dénombre trente-six sinistrés. Trois tentes sont installées pour accueillir temporairement les sinistrés. Moins d’une vingtaine de doléances sont prises au niveau du fokontany Anjanahary IIN. « Dix huit doléances ont été déposées jusqu’à présent par rapport aux dégâts et aux pertes subis par les sinistrés. », explique Faustin Raholiarison, Président du fokontany Anjanahary IIN. En outre, la décision est tombée et aucune construction en bois ne sera plus tolérée au niveau de ce fokontany pour éviter que le drame ne se répète. « Les constructions en bois seront désormais interdites. Une réunion aura lieu entre les entités afin de constater la situation des sinistrés », conclut le président du fokontany.
Après le grave incendie du samedi à Anjanahary, les sinistrés n’ont rien pour survivre. Ils lancent un appel à l’aide. Clarita, une mère de famille de 19 ans tient son enfant dans ses bras, les larmes aux yeux, hier dans la matinée, témoignant de son calvaire, elle évoque les circonstances du drame lors de l’incendie qui s’est déroulé ce samedi à Anjanahary. « Tout est parti en fumée », témoigne Clarita, une des sinistrés. Elle venait d’Ambohidratrimo, à Manjakandriana. « C’est vers l’après midi, au moment même où je vendais un sac de charbon. On m’a aussitôt appelé pour sortir de ma maison puisque le feu s’étendait au niveau de cases en bois voisines. Prise de panique, je n’avais pas pu emporter que ma carte d’identité nationale », poursuit-elle. Comme d’autres sinistrés, Clarita vivait dans une maisonnette en bois qu’elle loue avec son mari et son enfant de sept mois, avant le drame. « On a tout perdu ; une cinquantaine de sacs de charbon à vendre a été réduit en cendres. Il ne nous reste que cinq à six sacs », explique, Rijatiana Rakotoniaina , le mari de Clarita. C’est le même cas pour les autres sinistrés, l’heure est grave. « Nous faisons appel aux actes de bon cœur pour nous épauler dans ce moment difficile », rajoute-t-il. Doléance Roger, une personne âgée parmi les victimes explique. « Je vis avec mes deux enfants et ma femme dans cette maison brûlée par l’incendie. Toutes nos économies se sont envolées. Actuellement, je suis hébergé par un de mes enfants ». Des appuis ont été reçus auprès des responsables étatiques. Le bilan est lourd, vu que le fokontany dénombre trente-six sinistrés. Trois tentes sont installées pour accueillir temporairement les sinistrés. Moins d’une vingtaine de doléances sont prises au niveau du fokontany Anjanahary IIN. « Dix huit doléances ont été déposées jusqu’à présent par rapport aux dégâts et aux pertes subis par les sinistrés. », explique Faustin Raholiarison, Président du fokontany Anjanahary IIN. En outre, la décision est tombée et aucune construction en bois ne sera plus tolérée au niveau de ce fokontany pour éviter que le drame ne se répète. « Les constructions en bois seront désormais interdites. Une réunion aura lieu entre les entités afin de constater la situation des sinistrés », conclut le président du fokontany.