Le problème est la matière la plus difficile pour les candidats durant les épreuves. Quelques correcteurs interrogés ont répondu que les notes étaient mauvaises, surtout pour le problème et l’opération. Mais les notes étaient moyennes pour d’autres matières. « Comme chaque année, la plupart des feuilles de copies qui m’ont été remises avaient des mauvaises notes, cette année elles varient entre 1 et 12 sur 20 », livre un correcteur de cette matière. Pour les correcteurs, les mauvaises notes pourraient être les conséquences d’insuffisance de révision. « C’est compréhensible au vu de la situation sanitaire et des difficultés liées à la suspension des cours. Les candidats perdent également les moyens lorsque la manière dont la question est posée change », enchaîne-t-elle. Pour la connaissance usuelle, où certaines questions ont donné du fil à retordre aux candidats, la note minimale est de 3 sur 20. « On devrait corriger en binôme, mon collègue et moi devons corriger à peu près de deux cent vingt-cinq copies pour les deux jours. La note la plus basse, que j’ai donnée avoisine les 3 à 5 sur 20. Mais d’autres copies ont reçu de bonnes notes comme 38 sur 40 », indique une enseignante correctrice dans un centre de la capitale. Résultat Néanmoins, les notes pour certaines matières ont eu des constats positifs de la part des correcteurs interrogés. C’est le cas de la matière Malagasy. « Les notes ont été sans surprise pour la plupart, les copies que j’avais corrigé ont eu la moyenne », avoue un enseignant correcteur dans le centre Avaradoha. Même cas pour le Français. « Les élèves s’en sortent pas mal, d’après ce que j’ai constaté. Il y a ceux qui ont eu des bonnes notes mais il y a moins de candidats qui ont eu des mauvaises notes », explique un autre correcteur. Les procédures de corrections, transcriptions des examens sont prévu pour une semaine. Les résultats des examens pour les deux provinces seront attendus pour le début de la semaine prochaine. « Les corrections dureront pendant deux jours, les transcriptions des notes vont s’en suivre. Toutes les opérations dureront pendant une semaine », indique Lalaina Ramananantony, Chef de la circonscription scolaire de Tana-ville.
Le problème est la matière la plus difficile pour les candidats durant les épreuves. Quelques correcteurs interrogés ont répondu que les notes étaient mauvaises, surtout pour le problème et l’opération. Mais les notes étaient moyennes pour d’autres matières. « Comme chaque année, la plupart des feuilles de copies qui m’ont été remises avaient des mauvaises notes, cette année elles varient entre 1 et 12 sur 20 », livre un correcteur de cette matière. Pour les correcteurs, les mauvaises notes pourraient être les conséquences d’insuffisance de révision. « C’est compréhensible au vu de la situation sanitaire et des difficultés liées à la suspension des cours. Les candidats perdent également les moyens lorsque la manière dont la question est posée change », enchaîne-t-elle. Pour la connaissance usuelle, où certaines questions ont donné du fil à retordre aux candidats, la note minimale est de 3 sur 20. « On devrait corriger en binôme, mon collègue et moi devons corriger à peu près de deux cent vingt-cinq copies pour les deux jours. La note la plus basse, que j’ai donnée avoisine les 3 à 5 sur 20. Mais d’autres copies ont reçu de bonnes notes comme 38 sur 40 », indique une enseignante correctrice dans un centre de la capitale. Résultat Néanmoins, les notes pour certaines matières ont eu des constats positifs de la part des correcteurs interrogés. C’est le cas de la matière Malagasy. « Les notes ont été sans surprise pour la plupart, les copies que j’avais corrigé ont eu la moyenne », avoue un enseignant correcteur dans le centre Avaradoha. Même cas pour le Français. « Les élèves s’en sortent pas mal, d’après ce que j’ai constaté. Il y a ceux qui ont eu des bonnes notes mais il y a moins de candidats qui ont eu des mauvaises notes », explique un autre correcteur. Les procédures de corrections, transcriptions des examens sont prévu pour une semaine. Les résultats des examens pour les deux provinces seront attendus pour le début de la semaine prochaine. « Les corrections dureront pendant deux jours, les transcriptions des notes vont s’en suivre. Toutes les opérations dureront pendant une semaine », indique Lalaina Ramananantony, Chef de la circonscription scolaire de Tana-ville.