Dos au mur. Par le biais de son vice-président Thierry Rakotonarivo, la Commission électorale nationale indépendante (CENI), tente de stopper l’hémorragie causée par sa révélation de vendredi. L’information selon laquelle plus d’un million de Cartes d’identité nationale (CIN), auraient des numéros similaires, a été tiraillée de toutes parts par les différents courants au sein du microcosme politique. Cette information révélée durant une conférence de presse devant présenter le bilan de la révision annuelle de la liste électorale, a ébranlé l’ensemble des processus électoraux de ces derniers mois. Aussi, le vice-président de la CENI a mouillé le maillot en enchaînant les interventions médiatiques, hier, pour rectifier le tir. Selon Thiery Rakotonarivo donc, cette anomalie « n’a aucun impact sur le processus électoral ». Le vice-président de la CENI explique ainsi qu’il ne s’agit pas d’une personne qui serait titulaire de deux ou trois CIN afin de lui permettre de faire des votes multiples. « Il s’agit de deux ou trois personnes dont les cartes d’identité ont le même numéro », souligne-t-il. Sur sa lancée, il ajoute que « ces personnes ne se connaissent certainement pas. Et ce n’est pas parce qu’ils ont un même numéro de CIN qu’ils doivent systématiquement avoir voté pour un même candidat ». Toujours dans l’optique de rattraper le coup, Thierry Rakotonarivo martèle que l’existence de CIN avec des numéros identiques « n’entame en rien », le droit de vote, le nombre d’électeurs, ou encore le sens du vote. « J’invite ainsi tout un chacun à ne pas dévoyer à des fins politiques, les efforts de la CENI pour assainir la liste électorale », déclare le vice-président de la Commission électorale.
Dos au mur. Par le biais de son vice-président Thierry Rakotonarivo, la Commission électorale nationale indépendante (CENI), tente de stopper l’hémorragie causée par sa révélation de vendredi. L’information selon laquelle plus d’un million de Cartes d’identité nationale (CIN), auraient des numéros similaires, a été tiraillée de toutes parts par les différents courants au sein du microcosme politique. Cette information révélée durant une conférence de presse devant présenter le bilan de la révision annuelle de la liste électorale, a ébranlé l’ensemble des processus électoraux de ces derniers mois. Aussi, le vice-président de la CENI a mouillé le maillot en enchaînant les interventions médiatiques, hier, pour rectifier le tir. Selon Thiery Rakotonarivo donc, cette anomalie « n’a aucun impact sur le processus électoral ». Le vice-président de la CENI explique ainsi qu’il ne s’agit pas d’une personne qui serait titulaire de deux ou trois CIN afin de lui permettre de faire des votes multiples. « Il s’agit de deux ou trois personnes dont les cartes d’identité ont le même numéro », souligne-t-il. Sur sa lancée, il ajoute que « ces personnes ne se connaissent certainement pas. Et ce n’est pas parce qu’ils ont un même numéro de CIN qu’ils doivent systématiquement avoir voté pour un même candidat ». Toujours dans l’optique de rattraper le coup, Thierry Rakotonarivo martèle que l’existence de CIN avec des numéros identiques « n’entame en rien », le droit de vote, le nombre d’électeurs, ou encore le sens du vote. « J’invite ainsi tout un chacun à ne pas dévoyer à des fins politiques, les efforts de la CENI pour assainir la liste électorale », déclare le vice-président de la Commission électorale.