Notre tour d’horizon des candidats à la présidentielle de la fédération se poursuit avec Arizaka Raoul Rabekoto, Neypatraiky Rakotomamonjy et Jacques Ramaroson. Parmi les neuf candidats à la présidence de la Fédération Malgache de Football, trois évoluent déjà dans le milieu fédéral ou régional depuis longtemps, et, de ce fait, disposent de longues expériences. Neypatraiky Rakotomamonjy et Arizaka Raoul Rabekoto sont tous deux membres du comité exécutif de la FMF. Tandis que Jacques Ramaroson occupe le fauteuil de président de la ligue d’Analanjirofo depuis. Revenons en 2010, à Fianarantsoa. Arizaka Raoul Rabekoto se présente pour la première fois à la présidence de la FMF. Il s’incline devant Ahmad. Quatre ans plus tard, il est élu au sein du comité exécutif, à Mahajanga. Et le voilà donc qui postule à nouveau cette année au poste suprême, par passion du football. Le DG de la CNaPS entend professionnaliser le ballon rond. Et ce, afin que plus de joueurs malgaches intègrent les championnats européens. Bien évidemment, son programme se tourne également vers un développement à partir de la base, notamment en organisant des formations pour les techniciens et en créant des écoles de football. Faire peau neuve Neypatraiky Rakotomamonjy en est, quant à lui, à son premier essai. Il martèle que la FMF doit faire peau neuve et moderniser sa gouvernance. Son programme a été publié sur les réseaux sociaux depuis plusieurs semaines. Celui-ci comprend, entre autres, une restructuration administrative, des dotations en matériel des ligues, l’amélioration de l’appui logistique des Barea, le lancement d’une ligue nationale, la construction d’infrastructures régionales, et la création de centres techniques régionaux. Quant à Jacques Ramaroson, il dirige la ligue d’Analanjirofo depuis 2013, après en avoir été le vice-président à partir de 2009. «Si je me présente à la présidence de la fédération, c’est que je pense pouvoir apporter des bienfaits à celle-ci. Je parle de décentralisation des moyens, pour partir de la base au niveau des différentes régions. C’est ainsi, par exemple, qu’on pourra détecter de nouveaux talents dans toute l’île. Ces jeunes talents pourront prétendre à une carrière internationale par la suite, afin de venir renforcer l’équipe nationale», mentionne-t-il dans son programme.
Notre tour d’horizon des candidats à la présidentielle de la fédération se poursuit avec Arizaka Raoul Rabekoto, Neypatraiky Rakotomamonjy et Jacques Ramaroson. Parmi les neuf candidats à la présidence de la Fédération Malgache de Football, trois évoluent déjà dans le milieu fédéral ou régional depuis longtemps, et, de ce fait, disposent de longues expériences. Neypatraiky Rakotomamonjy et Arizaka Raoul Rabekoto sont tous deux membres du comité exécutif de la FMF. Tandis que Jacques Ramaroson occupe le fauteuil de président de la ligue d’Analanjirofo depuis. Revenons en 2010, à Fianarantsoa. Arizaka Raoul Rabekoto se présente pour la première fois à la présidence de la FMF. Il s’incline devant Ahmad. Quatre ans plus tard, il est élu au sein du comité exécutif, à Mahajanga. Et le voilà donc qui postule à nouveau cette année au poste suprême, par passion du football. Le DG de la CNaPS entend professionnaliser le ballon rond. Et ce, afin que plus de joueurs malgaches intègrent les championnats européens. Bien évidemment, son programme se tourne également vers un développement à partir de la base, notamment en organisant des formations pour les techniciens et en créant des écoles de football. Faire peau neuve Neypatraiky Rakotomamonjy en est, quant à lui, à son premier essai. Il martèle que la FMF doit faire peau neuve et moderniser sa gouvernance. Son programme a été publié sur les réseaux sociaux depuis plusieurs semaines. Celui-ci comprend, entre autres, une restructuration administrative, des dotations en matériel des ligues, l’amélioration de l’appui logistique des Barea, le lancement d’une ligue nationale, la construction d’infrastructures régionales, et la création de centres techniques régionaux. Quant à Jacques Ramaroson, il dirige la ligue d’Analanjirofo depuis 2013, après en avoir été le vice-président à partir de 2009. «Si je me présente à la présidence de la fédération, c’est que je pense pouvoir apporter des bienfaits à celle-ci. Je parle de décentralisation des moyens, pour partir de la base au niveau des différentes régions. C’est ainsi, par exemple, qu’on pourra détecter de nouveaux talents dans toute l’île. Ces jeunes talents pourront prétendre à une carrière internationale par la suite, afin de venir renforcer l’équipe nationale», mentionne-t-il dans son programme.