Un coup de feu tiré par un policier en civil pour stopper un fuyard qu’il a poursuivi à pied a semé la panique parmi l’entourage, hier, à Anosy. Scène de course-poursuite effrénée, hier matin vers 11 heures, à Anosy. Un policier en civil, mais armé, a couru après un homme pour essayer de mettre la main à son collet. Il n’a pourtant pas réussi à le rattraper, lorsque ce fuyard a pris ses jambes à son cou en accédant à l’enceinte de la bibliothèque nationale. C’était là que cet élément des forces de l’ordre a ouvert le feu une seule fois pour le sommer. De son côté, le suspect a toujours continué à se carapater en ignorant le coup de feu. Des femmes journalistes étant en conférence dans une salle de la bibliothèque et des lecteurs ont été pris de panique à cause du tir retentissant. « Il n’y avait pas beaucoup de passants avant cet instant de terreur et le quartier était calme. Je me suis très rapidement mis à l’abri dès que j’ai vu le fugitif et son poursuivant muni d’un pistolet, cavaler depuis le côté d’un hôtel à proximité », témoigne un piéton. Non identifié « Sitôt alertés, nous avons dépêché des hommes pour aider le policier à retrouver le suspect en fuite. Or, ce dernier reste introuvable jusqu’ici (ndlr : hier à 15h 30) », indique une source à la brigade criminelle (BC). Aucune information officielle n’a encore été communiquée par la police nationale par rapport à cette scène et à ce coup de feu résonant. « À ce que nous avons entendu, l’évadé venait de voler quelque part et l’homme armé a essayé de l’appréhender. Nous ignorons pourtant ce qu’il aurait dérobé », selon les témoignages des laveurs de voiture à côté de la bibliothèque. Le quidam à arrêter reste alors non identifié pour le moment. Il se serait sauvé les mains vides, à en croire les explications des mêmes interlocuteurs. « Il pourrait être un individu à être traduit devant le Parquet qui serait parvenu à fausser compagnie à l’agent », suppose le commissaire central Haminiaina Andrianalison, qui, lui aussi, s’est renseigné auprès de ses éléments à propos de ce coup de théâtre. Personne n’a alors absolument aucune idée de cette arrestation infructueuse qui a eu lieu, à Anosy, hier en fin de matinée. D’autres commissariats et services de police interrogés sur les faits n’ont pas non plus été capables d’en fournir davantage d’éclaircissements.
Un coup de feu tiré par un policier en civil pour stopper un fuyard qu’il a poursuivi à pied a semé la panique parmi l’entourage, hier, à Anosy. Scène de course-poursuite effrénée, hier matin vers 11 heures, à Anosy. Un policier en civil, mais armé, a couru après un homme pour essayer de mettre la main à son collet. Il n’a pourtant pas réussi à le rattraper, lorsque ce fuyard a pris ses jambes à son cou en accédant à l’enceinte de la bibliothèque nationale. C’était là que cet élément des forces de l’ordre a ouvert le feu une seule fois pour le sommer. De son côté, le suspect a toujours continué à se carapater en ignorant le coup de feu. Des femmes journalistes étant en conférence dans une salle de la bibliothèque et des lecteurs ont été pris de panique à cause du tir retentissant. « Il n’y avait pas beaucoup de passants avant cet instant de terreur et le quartier était calme. Je me suis très rapidement mis à l’abri dès que j’ai vu le fugitif et son poursuivant muni d’un pistolet, cavaler depuis le côté d’un hôtel à proximité », témoigne un piéton. Non identifié « Sitôt alertés, nous avons dépêché des hommes pour aider le policier à retrouver le suspect en fuite. Or, ce dernier reste introuvable jusqu’ici (ndlr : hier à 15h 30) », indique une source à la brigade criminelle (BC). Aucune information officielle n’a encore été communiquée par la police nationale par rapport à cette scène et à ce coup de feu résonant. « À ce que nous avons entendu, l’évadé venait de voler quelque part et l’homme armé a essayé de l’appréhender. Nous ignorons pourtant ce qu’il aurait dérobé », selon les témoignages des laveurs de voiture à côté de la bibliothèque. Le quidam à arrêter reste alors non identifié pour le moment. Il se serait sauvé les mains vides, à en croire les explications des mêmes interlocuteurs. « Il pourrait être un individu à être traduit devant le Parquet qui serait parvenu à fausser compagnie à l’agent », suppose le commissaire central Haminiaina Andrianalison, qui, lui aussi, s’est renseigné auprès de ses éléments à propos de ce coup de théâtre. Personne n’a alors absolument aucune idée de cette arrestation infructueuse qui a eu lieu, à Anosy, hier en fin de matinée. D’autres commissariats et services de police interrogés sur les faits n’ont pas non plus été capables d’en fournir davantage d’éclaircissements.