Si beaucoup ont pensé à une simple demande de financements pour la réalisation de leurs projets, des restrictions marquent le programme Fihariana. Projet bancable. C’est le caractère nécessaire à l’obtention d’un prêt à un taux d’intérêt fixe de 5% à 9,5% dans le cadre du programme Fihariana. « Le remboursement se fait en trente-six mois et le prêt sera accordé par l’une des banques partenaires BNI Madagascar ou BOA. Le prêt accordé peut excéder le montant voulu et peut être également inférieur au montant sollicité », selon la responsable lors de la séance d’information, hier, à la Chambre de Commerce et de l’Industrie à Antaninarenina. Cette institution s’occupe uniquement de la réception des dossiers. La coordination du programme Fihariana localisée au Palais d’Iavoloha se charge ensuite de déférer les dossiers reçus vers le bureau régional de sélection encore en structuration. Lors de cette séance, la responsable indique « l’inexistence de l’octroi de prêts pour le moment car on se trouve en phase de réception des dossiers. Après la réception, il y a une présélection à l’issue de laquelle une formation initiale est offerte. C’est ensuite qu’une sélection intervient suivie d’une formation approfondie. Le déblocage des sommes pour démarrer un projet se fait dans les quinze jours qui suivent la publication par voie de presse de la liste des personnes sélectionnées ». La plupart des gens venant à la séance d’information hebdomadaire apportent des projets commerciaux au lieu de projets entrepreneuriaux. « Le projet pour lequel on demande un prêt dans le cadre du programme Fihariana doit être un projet prévoyant une création d’emplois », insiste la responsable. Contrairement aux prêts classiques, le programme Fihariana vise à financer des projets faisables et générateurs d’emplois et plusieurs entreprises déposent des projets pour obtenir des prêts dans le cadre de ce programme. Bancarisation Des formulaires à acheter à un prix de 1000 ariary sont à retirer et à compléter au niveau de la Chambre de Commerce. La réception de dossiers se fait de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 16 heures. « Le dépôt de dossiers peut se faire toute l’année », rassure la responsable de la séance d’information hebdomadaire chaque lundi. Dans la fiche à remplir, chaque porteur de projet doit indiquer son offre financière et technique pour mener le projet à terme. Les personnes présentes sur place sont intéressées par l’obtention de financement d’une valeur de 200 000 ariary à 200 000 000 ariary. « En cas d’incompréhensions ou de doutes, écrire via mail à la coordination du programme Fihariana est l’unique solution », selon l’intervenante lors de la séance d’information face à une soixantaine de personnes intéressées. À remettre sous pli fermé, les formulaires accompagnés de fichiers téléchargeables sur le site du programme Fihariana sont reçus du lundi au vendredi à la Chambre de Commerce. Selon les précisions, « il appartient aux banques d’analyser les dossiers auxquels l’octroi de prêts est opportun. C’est pourquoi une fois sélectionné, chaque porteur de projet recevra une formation axée sur l’éducation financière, et un accompagnement va avoir pour but de le transformer en véritable entrepreneur ».
Si beaucoup ont pensé à une simple demande de financements pour la réalisation de leurs projets, des restrictions marquent le programme Fihariana. Projet bancable. C’est le caractère nécessaire à l’obtention d’un prêt à un taux d’intérêt fixe de 5% à 9,5% dans le cadre du programme Fihariana. « Le remboursement se fait en trente-six mois et le prêt sera accordé par l’une des banques partenaires BNI Madagascar ou BOA. Le prêt accordé peut excéder le montant voulu et peut être également inférieur au montant sollicité », selon la responsable lors de la séance d’information, hier, à la Chambre de Commerce et de l’Industrie à Antaninarenina. Cette institution s’occupe uniquement de la réception des dossiers. La coordination du programme Fihariana localisée au Palais d’Iavoloha se charge ensuite de déférer les dossiers reçus vers le bureau régional de sélection encore en structuration. Lors de cette séance, la responsable indique « l’inexistence de l’octroi de prêts pour le moment car on se trouve en phase de réception des dossiers. Après la réception, il y a une présélection à l’issue de laquelle une formation initiale est offerte. C’est ensuite qu’une sélection intervient suivie d’une formation approfondie. Le déblocage des sommes pour démarrer un projet se fait dans les quinze jours qui suivent la publication par voie de presse de la liste des personnes sélectionnées ». La plupart des gens venant à la séance d’information hebdomadaire apportent des projets commerciaux au lieu de projets entrepreneuriaux. « Le projet pour lequel on demande un prêt dans le cadre du programme Fihariana doit être un projet prévoyant une création d’emplois », insiste la responsable. Contrairement aux prêts classiques, le programme Fihariana vise à financer des projets faisables et générateurs d’emplois et plusieurs entreprises déposent des projets pour obtenir des prêts dans le cadre de ce programme. Bancarisation Des formulaires à acheter à un prix de 1000 ariary sont à retirer et à compléter au niveau de la Chambre de Commerce. La réception de dossiers se fait de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 16 heures. « Le dépôt de dossiers peut se faire toute l’année », rassure la responsable de la séance d’information hebdomadaire chaque lundi. Dans la fiche à remplir, chaque porteur de projet doit indiquer son offre financière et technique pour mener le projet à terme. Les personnes présentes sur place sont intéressées par l’obtention de financement d’une valeur de 200 000 ariary à 200 000 000 ariary. « En cas d’incompréhensions ou de doutes, écrire via mail à la coordination du programme Fihariana est l’unique solution », selon l’intervenante lors de la séance d’information face à une soixantaine de personnes intéressées. À remettre sous pli fermé, les formulaires accompagnés de fichiers téléchargeables sur le site du programme Fihariana sont reçus du lundi au vendredi à la Chambre de Commerce. Selon les précisions, « il appartient aux banques d’analyser les dossiers auxquels l’octroi de prêts est opportun. C’est pourquoi une fois sélectionné, chaque porteur de projet recevra une formation axée sur l’éducation financière, et un accompagnement va avoir pour but de le transformer en véritable entrepreneur ».