Après le passage dévastateur du cyclone Kenneth sur les Comores, deux associations bénédictines - Nous sommes tous des tuteurs de la paix (NST) d'Ali Ahmada, bien connue dans l'est de l'île et Tien bo ensemb de Jérôme Sellaye - se mobilisent pour apporter une aide d'urgence à la population. Un premier bilan, dressé samedi par le gouvernement comorien, faisait état de quatre morts dans le pays, cent quatre vingt deux blessés et quinze mille «déplacés». Des villages entiers ont été détruits. Les deux associations appellent aux dons, qu'ils soient financiers, en nourriture, vêtements ou équipements pour aider à la reconstruction (ciment, tôles, peinture...). L'objectif est d'envoyer une équipe de bénévoles sur place avec, parmi eux, des spécialistes du bâtiment pour aider la population, ainsi qu'un ou plusieurs containers pour acheminer les dons collectés localement. Les collectivités de l'île sont également interpellées pour apporter leur aide afin de financer le transport des hommes et du matériel. Des rencontres avec la ville de Saint-Denis et d'autres communes sont également prévues afin d'organiser des journées de solidarité. Plusieurs groupes de musique ont déjà donné leur accord. © JIR
Après le passage dévastateur du cyclone Kenneth sur les Comores, deux associations bénédictines - Nous sommes tous des tuteurs de la paix (NST) d'Ali Ahmada, bien connue dans l'est de l'île et Tien bo ensemb de Jérôme Sellaye - se mobilisent pour apporter une aide d'urgence à la population. Un premier bilan, dressé samedi par le gouvernement comorien, faisait état de quatre morts dans le pays, cent quatre vingt deux blessés et quinze mille «déplacés». Des villages entiers ont été détruits. Les deux associations appellent aux dons, qu'ils soient financiers, en nourriture, vêtements ou équipements pour aider à la reconstruction (ciment, tôles, peinture...). L'objectif est d'envoyer une équipe de bénévoles sur place avec, parmi eux, des spécialistes du bâtiment pour aider la population, ainsi qu'un ou plusieurs containers pour acheminer les dons collectés localement. Les collectivités de l'île sont également interpellées pour apporter leur aide afin de financer le transport des hommes et du matériel. Des rencontres avec la ville de Saint-Denis et d'autres communes sont également prévues afin d'organiser des journées de solidarité. Plusieurs groupes de musique ont déjà donné leur accord. © JIR