Le président du Malagasy Rugby, Marcel Rakotomalala contre-attaque aux plaintes de ses rivaux, à l'élection présidentielle de la fédération prévue le 21 décembre. Le président en exercice n'a pas hésité à citer les noms des personnes, à savoir Santoni Rakotomanga, Camille Ratsima et Harilala Ramarolahy, qui ont porté plainte contre lui auprès du World Rugby, du Rugby Africa, du Comité olympique, de la police économique et de la chaine pénale. Ces techniciens de haut niveau de l'ovale lui reprochant d'être concerné à une affaire de falsification d'âge de deux joueurs, lors de la CAN juniors en 2016 et le détournement du budget quadriennal destiné aux projets subventionnés par le World Rugby. « Parmi les plaignants figure le directeur de compétition à cette CAN, et pourquoi n'a-t-il pas dévoilé cette affaire que maintenant. Il est donc lui aussi impliqué », a expliqué Marcel Rakotomalala. « Concernant la deuxième affaire, je ne fais que signer les documents sur les projets de développement du World Rugby. Le circuit financier ne me rapporte rien. Les noms de ces techniciens ont été mentionnés dans les dossiers de demande de subvention, et nous ne pouvons plus les changer avant le rapport final », a poursuivi Marcel Rakotomalala. Ce dernier qualifie ces actes de diffamation de dénigrement de l'ovale malgache. Du côté de la bande à Santoni Rakotomanga, ce dernier a mentionné que « il y a ou pas élection, nous sommes déterminés à déposer ces plaintes, dans le but d'avoir des éclaircissements et plus de transparence sur l'utilisation des aides allouées à la fédération pour le développement de la discipline (...) En plus de ces plaintes, nous avons également déposé d'autres dossiers auprès du Bianco et nous attendons maintenant les résultats des enquêtes ». S.R.
Le président du Malagasy Rugby, Marcel Rakotomalala contre-attaque aux plaintes de ses rivaux, à l'élection présidentielle de la fédération prévue le 21 décembre. Le président en exercice n'a pas hésité à citer les noms des personnes, à savoir Santoni Rakotomanga, Camille Ratsima et Harilala Ramarolahy, qui ont porté plainte contre lui auprès du World Rugby, du Rugby Africa, du Comité olympique, de la police économique et de la chaine pénale. Ces techniciens de haut niveau de l'ovale lui reprochant d'être concerné à une affaire de falsification d'âge de deux joueurs, lors de la CAN juniors en 2016 et le détournement du budget quadriennal destiné aux projets subventionnés par le World Rugby. « Parmi les plaignants figure le directeur de compétition à cette CAN, et pourquoi n'a-t-il pas dévoilé cette affaire que maintenant. Il est donc lui aussi impliqué », a expliqué Marcel Rakotomalala. « Concernant la deuxième affaire, je ne fais que signer les documents sur les projets de développement du World Rugby. Le circuit financier ne me rapporte rien. Les noms de ces techniciens ont été mentionnés dans les dossiers de demande de subvention, et nous ne pouvons plus les changer avant le rapport final », a poursuivi Marcel Rakotomalala. Ce dernier qualifie ces actes de diffamation de dénigrement de l'ovale malgache. Du côté de la bande à Santoni Rakotomanga, ce dernier a mentionné que « il y a ou pas élection, nous sommes déterminés à déposer ces plaintes, dans le but d'avoir des éclaircissements et plus de transparence sur l'utilisation des aides allouées à la fédération pour le développement de la discipline (...) En plus de ces plaintes, nous avons également déposé d'autres dossiers auprès du Bianco et nous attendons maintenant les résultats des enquêtes ». S.R.