Une affaire d’exploitation sexuelle de jeunes filles, portée au grand jour, à Tanjombato, dans la matinée de vendredi, par la Section des Recherches Criminelles (SRC) de la gendarmerie nationale à Antananarivo, a été conduite hier devant le parquet près du tribunal de première instance à Antananarivo. Un homme âgé d’une quarantaine d’années qui a tiré les ficelles dans cette histoire a été placé en détention préventive à la maison centrale d’Antanimora à l’issue de son passage au parquet hier après-midi. Neuf jeunes filles, prises sur le fait devant leurs ordinateurs lors de la descente des forces de gendarmerie ont, pour leur part, bénéficié d’une mise en liberté provisoire. Renseignements Elles ont été entendues comme témoins à charge. Lors des enquêtes préliminaires, ces dernières ont confié qu’elles sont payées pour diverses activités liées à la prostitution. Vendredi vers 10 heures, lorsque les éléments du SRC ont débarqué, les neuf jeunes filles étaient en train de se livrer à des scènes érotiques face à leurs ordinateurs. Elles s’exhibaient sur webcam, devant leurs clients embusqués et connectés derrière un site pornographique hébergé en dehors de Madagascar.
Une affaire d’exploitation sexuelle de jeunes filles, portée au grand jour, à Tanjombato, dans la matinée de vendredi, par la Section des Recherches Criminelles (SRC) de la gendarmerie nationale à Antananarivo, a été conduite hier devant le parquet près du tribunal de première instance à Antananarivo. Un homme âgé d’une quarantaine d’années qui a tiré les ficelles dans cette histoire a été placé en détention préventive à la maison centrale d’Antanimora à l’issue de son passage au parquet hier après-midi. Neuf jeunes filles, prises sur le fait devant leurs ordinateurs lors de la descente des forces de gendarmerie ont, pour leur part, bénéficié d’une mise en liberté provisoire. Renseignements Elles ont été entendues comme témoins à charge. Lors des enquêtes préliminaires, ces dernières ont confié qu’elles sont payées pour diverses activités liées à la prostitution. Vendredi vers 10 heures, lorsque les éléments du SRC ont débarqué, les neuf jeunes filles étaient en train de se livrer à des scènes érotiques face à leurs ordinateurs. Elles s’exhibaient sur webcam, devant leurs clients embusqués et connectés derrière un site pornographique hébergé en dehors de Madagascar.