Fin du calvaire pour un opérateur économique français d’origine indienne. Il a été enlevé aux abords de son lieu de résidence à Analamahitsy dans la soirée du 21 juin. Cet homme a été libéré sain et sauf hier après-midi, lorsque des éléments du Service central des affaire criminelles (SCAC) au sein de la police nationale, ont investi la planque des ravisseurs à Ambohidratrimo. Cet assaut est l'aboutissement d’une investigation diligentée depuis le rapt. La victime est propriétaire d’une quincaillerie, sise à Analakely. Il allait regagner son foyer à bord de son véhicule, lorsqu’ il est tombé entre les griffes des ravisseurs. Arraché de son véhicule, l’opérateur économique, a été d’emblée empoigné par les assaillants, qui l'ont ensuite jeté dans une Peugeot 405. Les kidnappeurs ont frappé aux alentours de 18 heures 15mn. Alertée, la police du commissariat du 8e arrondissement à Analamahitsy, a envoyé des éléments à la rescousse, mais en vain. Au bout de neuf jours de marchandages sur le montant de la rançon, la police arrache au forceps sa libération, sans qu’il y ait eu de plainte. S.A.
Fin du calvaire pour un opérateur économique français d’origine indienne. Il a été enlevé aux abords de son lieu de résidence à Analamahitsy dans la soirée du 21 juin. Cet homme a été libéré sain et sauf hier après-midi, lorsque des éléments du Service central des affaire criminelles (SCAC) au sein de la police nationale, ont investi la planque des ravisseurs à Ambohidratrimo. Cet assaut est l'aboutissement d’une investigation diligentée depuis le rapt. La victime est propriétaire d’une quincaillerie, sise à Analakely. Il allait regagner son foyer à bord de son véhicule, lorsqu’ il est tombé entre les griffes des ravisseurs. Arraché de son véhicule, l’opérateur économique, a été d’emblée empoigné par les assaillants, qui l'ont ensuite jeté dans une Peugeot 405. Les kidnappeurs ont frappé aux alentours de 18 heures 15mn. Alertée, la police du commissariat du 8e arrondissement à Analamahitsy, a envoyé des éléments à la rescousse, mais en vain. Au bout de neuf jours de marchandages sur le montant de la rançon, la police arrache au forceps sa libération, sans qu’il y ait eu de plainte. S.A.