Les hôpitaux sont presque vides, en cette période de confinement. Des malades rentrent chez eux après les premiers soins. Plusieurs lits sont vides, dans les services des centres hospitaliers de la capitale. Le nombre de patients surveillés a connu une baisse, depuis l'apparition des premiers cas de coronavirus et le début du confinement. « Nous limitons autant que possible la durée de l’hospitalisation des patients. L’objectif est de réduire et de limiter les contacts des patients avec d’autres individus, en cette période de confinement », explique le professeur Olivat Rakoto Alson, directeur de l’établissement centre hospitalier universitaire Joseph Ravoahangy Andrianavalona (CHU JRB), hier. Le triage des patients à hospitaliser s’effectue au niveau du service des Urgences, dans cet hôpital. « Après les premiers soins, ceux qui peuvent être surveillés chez eux sortent de l’hôpital. En cas de problèmes, ils peuvent revenir. Seuls ceux dont le pronostic vital est en danger, sont admis », enchaine ce médecin. Elle a pris pour exemples, les cas de traits de fracture. Les victimes peuvent rentrer, après la radiographie et la pose de plâtre.
Les hôpitaux sont presque vides, en cette période de confinement. Des malades rentrent chez eux après les premiers soins. Plusieurs lits sont vides, dans les services des centres hospitaliers de la capitale. Le nombre de patients surveillés a connu une baisse, depuis l'apparition des premiers cas de coronavirus et le début du confinement. « Nous limitons autant que possible la durée de l’hospitalisation des patients. L’objectif est de réduire et de limiter les contacts des patients avec d’autres individus, en cette période de confinement », explique le professeur Olivat Rakoto Alson, directeur de l’établissement centre hospitalier universitaire Joseph Ravoahangy Andrianavalona (CHU JRB), hier. Le triage des patients à hospitaliser s’effectue au niveau du service des Urgences, dans cet hôpital. « Après les premiers soins, ceux qui peuvent être surveillés chez eux sortent de l’hôpital. En cas de problèmes, ils peuvent revenir. Seuls ceux dont le pronostic vital est en danger, sont admis », enchaine ce médecin. Elle a pris pour exemples, les cas de traits de fracture. Les victimes peuvent rentrer, après la radiographie et la pose de plâtre.