Dérive. C’est ainsi que la Haute cour constitutionnelle (HCC), qualifie les agissements de certains candidats aux élections législatives. Dans un communiqué publié sur son site web, hier, la Cour d’Ambohidahy rappelle à l’ordre les prétendants à siéger à l’Assemblée nationale, face « aux dérives », de la propagande avant-l’heure. La HCC cible, particulièrement, les campagnes publicitaires à caractère électoral. « Force est de constater (…) que certains candidats s’adonnent d’ores et déjà à une campagne publicitaire, comme l’utilisation de spots publicitaires sur des médias privés ou la publication d’une photo en première page des quotidiens avec le numéro du candidat », tonne la Cour constitutionnelle. Dans son communiqué la Cour d’Ambohidahy souligne que la période de campagne électorale est fixée du lundi 6 mai à six heures, au samedi 25 mai à minuit. « Que tout usage de moyens de propagande électorale prévus (…) par la loi organique relative au régime général des élections et de référendums, est interdit avant l’ouverture officielle de la campagne », ajoute la HCC. Ces moyens de propagande auxquels la HCC fait référence, sont indiqués à l’article 92 du texte précité. La Cour relève, notamment, « toutes les activités publicitaires dans les différents médias audiovisuels, écrits et électroniques ». Pour mettre fin aux dérives, la HCC en appelle à la prise de conscience organes médiatiques et des candidats. « Les supports médiatiques concernés doivent être conscients de leur responsabilité en complicité d’une violation de la législation électorale », indique le communiqué de la Cour constitutionnelle. Il ajoute qu’« un candidat à l’Assemblée nationale, donc aspirant à être un législateur, doit faire preuve d’une conduite exemplaire en matière de respect de la législation et de la règlementation en vigueur ».
Dérive. C’est ainsi que la Haute cour constitutionnelle (HCC), qualifie les agissements de certains candidats aux élections législatives. Dans un communiqué publié sur son site web, hier, la Cour d’Ambohidahy rappelle à l’ordre les prétendants à siéger à l’Assemblée nationale, face « aux dérives », de la propagande avant-l’heure. La HCC cible, particulièrement, les campagnes publicitaires à caractère électoral. « Force est de constater (…) que certains candidats s’adonnent d’ores et déjà à une campagne publicitaire, comme l’utilisation de spots publicitaires sur des médias privés ou la publication d’une photo en première page des quotidiens avec le numéro du candidat », tonne la Cour constitutionnelle. Dans son communiqué la Cour d’Ambohidahy souligne que la période de campagne électorale est fixée du lundi 6 mai à six heures, au samedi 25 mai à minuit. « Que tout usage de moyens de propagande électorale prévus (…) par la loi organique relative au régime général des élections et de référendums, est interdit avant l’ouverture officielle de la campagne », ajoute la HCC. Ces moyens de propagande auxquels la HCC fait référence, sont indiqués à l’article 92 du texte précité. La Cour relève, notamment, « toutes les activités publicitaires dans les différents médias audiovisuels, écrits et électroniques ». Pour mettre fin aux dérives, la HCC en appelle à la prise de conscience organes médiatiques et des candidats. « Les supports médiatiques concernés doivent être conscients de leur responsabilité en complicité d’une violation de la législation électorale », indique le communiqué de la Cour constitutionnelle. Il ajoute qu’« un candidat à l’Assemblée nationale, donc aspirant à être un législateur, doit faire preuve d’une conduite exemplaire en matière de respect de la législation et de la règlementation en vigueur ».