Négociation. Lors de la passation du pouvoir entre la ministre sortante et le nouveau ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique Elia Béatrice Assoumacou cette dernière a tenu à faire régner « la paix sociale» dans ce ministère. Un défi qu’elle propose de gagner au vu des difficultés, notamment, les revendications du Syndicat des enseignants chercheurs. Dans cette optique, une réunion s’est tenue entre le nouveau ministre et les représentants du Syndicat des chercheurs enseignants et les enseignants chercheurs, hier aussitôt la passation de pouvoir achevée. « C’est une priorité de considérer les problèmes et les revendications des chercheurs enseignants et des enseignants chercheurs par le ministère de tutelle. Puisque l’un ne peut fonctionner sans l’autre », précise Elia Béatrice Assoumacou, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, devant la presse. Deux jours avant cette réunion, le conseil national a tranché sur plusieurs points des revendications, dont le rappel des trois décrets, le paiement de l’indemnité d’investigation, la clôture de l’année universitaire. Le syndicat campait encore sur sa position avant cette réunion. La reprise des cours est encore non envisageable sans les pourparlers avec le ministère de tutelle. La décision de la reprise des cours n’a pas été encore annoncée, selon le responsable du Seces. « On va attendre l’assemblée générale ce lundi pour trancher sur la reprise des cours au niveau de l’Université d’Antananarivo », explique-t-il.
Négociation. Lors de la passation du pouvoir entre la ministre sortante et le nouveau ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique Elia Béatrice Assoumacou cette dernière a tenu à faire régner « la paix sociale» dans ce ministère. Un défi qu’elle propose de gagner au vu des difficultés, notamment, les revendications du Syndicat des enseignants chercheurs. Dans cette optique, une réunion s’est tenue entre le nouveau ministre et les représentants du Syndicat des chercheurs enseignants et les enseignants chercheurs, hier aussitôt la passation de pouvoir achevée. « C’est une priorité de considérer les problèmes et les revendications des chercheurs enseignants et des enseignants chercheurs par le ministère de tutelle. Puisque l’un ne peut fonctionner sans l’autre », précise Elia Béatrice Assoumacou, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, devant la presse. Deux jours avant cette réunion, le conseil national a tranché sur plusieurs points des revendications, dont le rappel des trois décrets, le paiement de l’indemnité d’investigation, la clôture de l’année universitaire. Le syndicat campait encore sur sa position avant cette réunion. La reprise des cours est encore non envisageable sans les pourparlers avec le ministère de tutelle. La décision de la reprise des cours n’a pas été encore annoncée, selon le responsable du Seces. « On va attendre l’assemblée générale ce lundi pour trancher sur la reprise des cours au niveau de l’Université d’Antananarivo », explique-t-il.